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Projet collectif d'écriture ? (page 21) - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Projet collectif d'écriture ?
  • craig_lyner Dieu tout puissant
    craig_lyner
    • 3 février 2025 à 19:18
    En réponse au message de 20-100 :

    Il sont de moi, c'est tout.


    quand tu deviendras "célèbre" , ils auront peut être de la valeur ^^stuck_out_tongue_winking_eye.png

  • 20-100 Légende urbaine
    20-100
    • 3 février 2025 à 19:19
    En réponse au message de craig_lyner :

    quand tu deviendras "célèbre" , ils auront peut être de la valeur ^^stuck_out_tongue_winking_eye.png


    M'étonnerait. Ils ne sont pas ouf quand même mais ils ont le mérite d'illustrer ce que j'ai en tête.

  • gill92 Membre suprême
    gill92
    • 3 février 2025 à 19:49
    En réponse au message de 20-100 :

    Il sont de moi, c'est tout.


    Amusant.

    Tu pourrais concurrencer Juju.

    smiley.png

  • juiien Membre élite
    juiien
    • 3 février 2025 à 20:22
    En réponse au message de gill92 :

    Amusant.

    Tu pourrais concurrencer Juju.

    smiley.png


    Il y a de la place pour tous les artistes 😂

  • oblivion Membre émérite
    oblivion
    • 17 avril 2025 à 08:42

    ***************************************************************************************************************************


    Prunille mesura le sérieux de telles paroles. Elle fut parcourue d’un frisson à l’idée qu’un monde entier puisse connaître sa fin, elle qui du haut de ses dix années d’existence avait déjà vu ce qu’un accident pouvait causer comme souffrance. Mais là, il s’agissait d’un cataclysme d’une toute autre ampleur. Quelque chose qu’elle ne pouvait concevoir vraiment, et cependant, dans les tréfonds de son être, elle savait le prix à la vie qu’une telle atrocité exigeait. Elle en ressentait une souffrance implacable, immémoriale, capable d’aspirer toute joie et tout espoir d’elle-même dans un gouffre aussi insondable qu’impitoyable. Plus elle fixait la blessure de l’arbre plus il lui semblait distinguer des voix qui en réchappaient.

    « Pru...nille...» entendait-elle encore et encore. Cette Ьоuсhе de l’au-delà l’appelait inlassablement en soupirant.

    «J’ai l’impression qu’elle me parle!

    – Quoi donc? La grande plaie? Tu l’entends toi aussi?

    – Pas toi?

    – Non, à ma connaissance, seule une autre personne entend le souffle du néant. Il vit au palais, c’est l’érudit de ma cour, Antonin de Ker Orval. Il vient de la Terre tout comme toi et il est très ancien. Ne perdons pas plus de temps, il nous faut monter. Je vais nous conduire au Palais de Faerie.»

    Et en quelques battements de cils, Prunille se retrouva au milieu d’une salle somptueuse aux voûtes gigantesques où l’or ciselé se mêle aux agates et aux obsidiennes. Des êtres étranges du monde féerique s’affairaient en virevoltant ça et là à la recherche de tissus, de bijoux et de mets plus exquis les uns que les autres.



  • sim.s-heart Dieu tout puissant
    sim.s-heart
    • 17 avril 2025 à 08:50
    En réponse au message de oblivion :

    ***************************************************************************************************************************


    Prunille mesura le sérieux de telles paroles. Elle fut parcourue d’un frisson à l’idée qu’un monde entier puisse connaître sa fin, elle qui du haut de ses dix années d’existence avait déjà vu ce qu’un accident pouvait causer comme souffrance. Mais là, il s’agissait d’un cataclysme d’une toute autre ampleur. Quelque chose qu’elle ne pouvait concevoir vraiment, et cependant, dans les tréfonds de son être, elle savait le prix à la vie qu’une telle atrocité exigeait. Elle en ressentait une souffrance implacable, immémoriale, capable d’aspirer toute joie et tout espoir d’elle-même dans un gouffre aussi insondable qu’impitoyable. Plus elle fixait la blessure de l’arbre plus il lui semblait distinguer des voix qui en réchappaient.

    « Pru...nille...» entendait-elle encore et encore. Cette Ьоuсhе de l’au-delà l’appelait inlassablement en soupirant.

    «J’ai l’impression qu’elle me parle!

    – Quoi donc? La grande plaie? Tu l’entends toi aussi?

    – Pas toi?

    – Non, à ma connaissance, seule une autre personne entend le souffle du néant. Il vit au palais, c’est l’érudit de ma cour, Antonin de Ker Orval. Il vient de la Terre tout comme toi et il est très ancien. Ne perdons pas plus de temps, il nous faut monter. Je vais nous conduire au Palais de Faerie.»

    Et en quelques battements de cils, Prunille se retrouva au milieu d’une salle somptueuse aux voûtes gigantesques où l’or ciselé se mêle aux agates et aux obsidiennes. Des êtres étranges du monde féerique s’affairaient en virevoltant ça et là à la recherche de tissus, de bijoux et de mets plus exquis les uns que les autres.




    Oups
  • sim.s-heart Dieu tout puissant
    sim.s-heart
    • 17 avril 2025 à 08:59

    Aïe aïe aïe...

  • 20-100 Légende urbaine
    20-100
    • 17 avril 2025 à 09:01
    En réponse au message de sim.s-heart :

    Aïe aïe aïe...


    Pourquoi tu gâches tout ?

  • sim.s-heart Dieu tout puissant
    sim.s-heart
    • 17 avril 2025 à 09:04
    En réponse au message de 20-100 :

    Pourquoi tu gâches tout ?


    Mais ça ne gâche rien, c'est la life 😏

    Et puis c'est u' projet collectif, non ? Don à chacun d'y apporter son inspiration pour faire suite à la précédente. 😉

  • oblivion Membre émérite
    oblivion
    • 17 avril 2025 à 09:15
    En réponse au message de sim.s-heart :

    Mais ça ne gâche rien, c'est la life 😏

    Et puis c'est u' projet collectif, non ? Don à chacun d'y apporter son inspiration pour faire suite à la précédente. 😉


    J'ai hâte de lire la suite que tu vas nous proposer.

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