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Que dire ? (page 2)

Sujet de discussion : Que dire ?
  • peterchat1 Membre Ă©lite
    peterchat1
    • 30 mai 2009 Ă  13:17
    Notre vie n'est pas nĂ©cessairement "conditionner par les autres" bien qu'il faille en tenir compte. Si on "vit" par rapport au regard des autres, le problĂšme ne vient pas des autres mais bien de nous-mĂȘme. " Victimes des autres, bourreau de soi-mĂȘme" comme disait Guy Corneau.
  • medievale Membre Ă©lite
    medievale
    • 30 mai 2009 Ă  14:06
    Exact, mais notre vie est quand meme conditionnée par notre appartenance à une société avec ses régles établies pour l'ensemble des personnes.
  • miss_apache Membre habituĂ©
    miss_apache
    • 31 mai 2009 Ă  20:51
    Oh un peu de philo, bon j'en ai pas au BEP mais tant pis.

    J'suis pas d'accord avec ça, car l'enfer ce n'est pas forcĂ©ment les autres ça peut ĂȘtre sois aussi, que ce soit dans notre esprit, notre coeur, notre vie, notre cervelle, ça peut ĂȘtre l'enfer sans que les autres soit mis en cause.
  • vioubis Membre expĂ©rimentĂ©
    vioubis
    • 2 juin 2009 Ă  11:13
    Selon Sartre : "l'enfer c'est les autres".

    Partagez vous cette opinion, et pourquoi ?

    oui c'est sur!! et je dirai que le paradis c'est les autres aussi!!
  • peterchat1 Membre Ă©lite
    peterchat1
    • 4 juin 2009 Ă  11:19
    Exact, mais notre vie est quand meme conditionnée par notre appartenance à une société avec ses régles établies pour l'ensemble des personnes.

    Evidemment Médiévale, qu'il faut tenir compte de la société dans laquelle on vit sinon ce serait l'anarchie. Etre libre ce n'est pas faire tout ce qui nous plait.
    Rousseau a proclamĂ© que: "L’homme est nĂ© libre." Ce qui veut dire que les humains, hommes et femmes, mĂȘme s'ils sont forcĂ©s de vivre en sociĂ©tĂ©, sont libres dĂšs leur naissance et qu’ils peuvent librement, surtout dans une dĂ©mocratie comme la nĂŽtre, passer convention de s’unir "socialement." L’essentiel de la dĂ©mocratie repose sur le respect de la libertĂ© de tous ce qui implique que chacun doit se sĐŸumĐ”tte aux modes d’une vie commune, afin d’éviter de porter atteinte Ă  la libertĂ© que chacun exerce dans sa sphĂšre privĂ©e, d'oĂș la nĂ©cessitĂ© des lois et de certaines rĂšgles.
    Comme le disait Rousseau, "Je préfÚre une liberté périlleuse à un ДsсlаvаgД tranquille."

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