N'attendant rien de ce président, je me fous de sa sécurité, étant іпtіmеment persuadé qu'il ne sera assassiné par personne, et que tous ces affolements quant à la ....... parlementaire et ceux de la droite extra-parlementaire, les Renseignements Généraux veillent.
Oh, рutаіп !! t'es relaxant comme mec, un vrai Climax délétère ^^ alors Quiz des services de sécurité, voilà un budget à récupérer LOL
Moi qui croyais que les communistes n'existaient plus, je vois rouge !!!
je me Mélanchonnais les pédales, enfin façon de parler.
Je peux dire ce que je veux, je ne serais pas assassiné par un bolchévique, me voilà rassuré.
J'ai un regret tout de même, c'est Marchais sympa et très drôles, depuis ils sont bien ternes.
Marchais était un sinistre stalinien, ayant dans sa biographie bien des zones noires, dont son travail volontaire en Allemagne durant la guerre, un apparatchik terne et sans charisme, qui aura achevé de faire du PCF un parti stalinien, partisan de l' Ordre et de son maintien, un sinistre clown sans culture, qui gouaillait pour faire peuple, alors qu'il y avait bien longtemps qu'il avait quitté son poste d'ouvrier ; Marchais était drôle pour les bourgeois, il animait les soirées des ces messieurs du Château, mais quelle pitié, entre le bilan "globalement positif" des pays sous la botte directe du stalinisme, entre l'appui à l'intervention soviétique en Afghanistan, entre son abandon de la dictature du prolétariat et son programme de gouvernement bourgeois avec les radicaux dit de gauche : Marchais ne m'aura jamais fait rire.
Ce n'est, ensuite, pas parce que les partis staliniens, du fait de la disparition de l'URSS, phagocyté par la bureaucratie, se retrouve largués à tous les vents de la collaboration de classes - en URSS ils auront privatisé l'économie socialisée et seront devenus les oligarques - que les communistes n'existent plus.
Tu confonds les appellations des partis avec leur orientation réelle ; et le PCF ne dépendant plus que de la perfusion du PS, tu t'imagines, à bon compte, que le communisme a disparu. Eh bien non, pour reprendre la phrase inaugurale de Marx dans "Le manifeste du parti communiste " : "Un spectre hante l'Europe" !!!
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Pour revenir au sujet, j'estime que les journalistes dispensent des efforts à la mesure de ce qu'est un président de la Cinquième République ; un Bonaparte (pouvant dissoudre l'assemblée nationale, pouvant suspendre les libertés publiques, pouvant gouverner par ordonnances, ayant sous sa responsabilité tous les ministres responsables devant lui), Bonaparte, homme-clé, dont la disparition pourrait précipiter une crise politique, bien présente et dont est grande l'acuité.
Quant à être délétère, c'est l'attachement à cette fonction présidentielle antidémocratique que j'estime de mauvais aloi, et fort délétère pour le coup.
Enfin, l'on a les idoles que l'on se choisit.
Monsieur Hollande ne fait pas partie des gens que j'estime. Ni pour la fonction qu'il assume, ni pour la politique qu'il indique et mène, ni pour l'individu qu'il est.
Le premier devoir d'un président, avide de démocratie, devrait de mettre en route une Assemblée Constituante Souveraine, à laquelle il remettrait ses pouvoirs discrétionnaires, et antidémocratiques.
Mais, tel n'est pas le programme de Monsieur Hollande, ni ce ne fut celui de son illustre prédécesseur qui qualifiait pourtant la Cinquième République de "coup d'état permanent", François Mitterrand.