Connexion :

Souffre-douleurs (page 5) - Le "Blabla" bar

Sujet de discussion : Souffre-douleurs
  • yggdrasil Membre élite
    yggdrasil
    • 13 février 2015 à 12:36
    Comme cela été dit fort justement plus haut, le harcèlement scolaire n’est pas un phénomène nouveau. Si les médias en relatent plus volontiers les conséquences dramatiques, ce n’est pas en raison d’une recrudescence, mais en raison de deux changements. L’un a trait à la perception du harcèlement ; l’autre tient en l’expression du harcèlement.

    D’abord, la parole a été grandement libérée au sujet des problèmes personnels rencontrés dans les établissements scolaires. Ce qui se passe à l’école n’est plus abandonné par les parents aux bons – ou mauvais – soins du personnel scolaire : une perte de confiance en l’École est patente. De même, ce qui relève des relations entre les enfants n’est plus laissé par les parents à leurs rejetons : on ne pense plus qu’un gamin doive régler seul ses problèmes pour devenir débrouillard et grandir. Les parents écoutent plus, interviennent, attirent l’attention de la société sur leurs difficultés avec la conviction de défendre une cause.

    Ensuite, le harcèlement a pris des formes nouvelles. Les nouvelles technologies sont une ouverture magnifique sur le monde. Elles provoquent aussi, comme tout fait de société, des désagréments. Auparavant, le harcèlement scolaire se limitait aux cours de nos écoles et aux activités périscolaires, qu’elles soient organisées ou autonomes. Un enfant rentrait chez lui dans un espace sanctuarisé. Maintenant – avec la téléphonie mobile et les réseaux sociaux – le harcèlement s’invite jusque dans la chambre des enfants, ne leur laissant que peu de répit. Ce n'est pas tout : qui n’ose pas harceler directement, se sent plus fort à l’abri derrière son écran. Les harceleurs se multiplient ainsi, et deviennent, pour certains, anonymes. Les conséquences du harcèlement en deviennent sans doute plus lourdes pour les enfants.
  • textoo Légende urbaine
    textoo
    • 13 février 2015 à 14:16
    Comme vous me demandez tous: c'est quoi la méthode Australienne? je vous la résume ici,

    En fait, il faut inverser les rôles, car comme ici, tous le mondes parles des victimes, mais personne de la cause.

    La méthode consiste donc à convoquer le harceleur, et le responsabiliser sur l'action du harcèlement, que faire pour qu'il disparaisse, lui fаіге ргепԁге conscience de sa responsabilité et des risques encourus, qu'il trouve sa solution, visiblement cela fonctionne très bien et donne des résultats prometteurs, à suivre ...
  • draсопis Légende urbaine
    draсопis
    • 13 février 2015 à 14:20
    Méthode intéressante dès lors qu'il y a un harceleur unique, dans le cas du petit gros victime de l'ensemble de la classe, cette méthode montre ses limites, bien entendu, il y a toujours 2 ou 3 meneurs.
  • textoo Légende urbaine
    textoo
    • 13 février 2015 à 14:34
    Méthode intéressante dès lors qu'il y a un harceleur unique, dans le cas du petit gros victime de l'ensemble de la classe, cette méthode montre ses limites, bien entendu, il y a toujours 2 ou 3 meneurs.

    Oui, drac, mais tu sais comme moi, que dans chaque classe il y a toujours un meneur qui fait la pluie et le beau temps, les "toutous" qui suivent, ne font que l'écho de sa voix

  • 20-100 Légende urbaine
    20-100
    • 13 février 2015 à 14:51
    Méthode intéressante dès lors qu'il y a un harceleur unique, dans le cas du petit gros victime de l'ensemble de la classe, cette méthode montre ses limites, bien entendu, il y a toujours 2 ou 3 meneurs.

    Oui, drac, mais tu sais comme moi, que dans chaque classe il y a toujours un meneur qui fait la pluie et le beau temps, les "toutous" qui suivent, ne font que l'écho de sa voix


    D'ailleurs j'ai remarqué que toutes mes classes ont comporté un souffre-douleur
  • textoo Légende urbaine
    textoo
    • 13 février 2015 à 17:43


    D'ailleurs j'ai remarqué que toutes mes classes ont comporté un souffre-douleur

    Et, as tu essayé d'en savoir plus ?
  • 20-100 Légende urbaine
    20-100
    • 13 février 2015 à 20:47


    D'ailleurs j'ai remarqué que toutes mes classes ont comporté un souffre-douleur

    Et, as tu essayé d'en savoir plus ?

    Je faisais toujours partie des rares qui "osaient" leur parler et de voir plus loin que l'idée dégradante que les gens en avaient.

Pas encore inscrit(e) ? Créez votre profil en quelques clics seulement et profitez !