Un bref instant de splendeur (page 111)

je suis étonné que Juju n'ait pas abordé Noël sur ce topic ^^

En réponse au message de craig_lyner :

je suis étonné que Juju n'ait pas abordé Noël sur ce topic ^^

C'est un site dédié à ses lectures.

En réponse au message de gill92 :

C'est un site dédié à ses lectures.

Tu peux avoir des lectures de Noël !

Je n'y avais pas pensé mais c'est une bonne idée. L'année dernière, j'avais lu une romande gay trop mignonne (cet hiver, heartstopper). Cette année, je n'ai pas trouvé grand chose sur la thématique gay et Noël ensemble (peut-être que stiky en connaît 😅 ) J'ai bien un livre sur les traditions de Noël autour du monde dans ma pile a lire. Et puis, il m'en reste plein : la pitié dangereuse de Stefan Zweig : on m'a dit que j'étais trop gentil, qu'il allait me guérir 😂, j'ai aussi les mangas de "the summer hikaru died " et spy x family à finir, Peau d'homme, une grosse brique avec des romans de jean genet et celui-ci que je viens de finir :

Et je n'ai pas de mix entre romance gay et Noël 😅

En réponse au message de stiky :

Et je n'ai pas de mix entre romance gay et Noël 😅

On va demander à 20-100 qu'il nous écrive quelque chose 😂

En réponse au message de Julien :

On va demander à 20-100 qu'il nous écrive quelque chose 😂

« Un mec glisse sur une plaque de verglas. Un autre lui porte secours et l’épouse. Fin. »

En réponse au message de 20-100 :

« Un mec glisse sur une plaque de verglas. Un autre lui porte secours et l’épouse. Fin. »

Magnifique, demandons à chatgpt de corriger un peu le texte 😂

Sous le givre du destin

Le froid avait envahi la petite ville de Montfleur. Les lumières de Noël scintillaient dans les vitrines, des guirlandes dorées pendaient aux réverbères, et l’air sentait la cannelle et le chocolat сhаuԁ.

Thomas, emmitouflé dans son manteau, pressait le pas sur le trottoir verglacé, les bras chargés de paquets. Il avait promis à sa sœur d’apporter les cadeaux pour le réveillon. Mais le destin, facétieux, avait prévu un détour.

Un cri, un déséquilibre… et vlan !

Thomas glissa sur une plaque de verglas dissimulée sous la neige, ses paquets volant dans les airs comme des oiseaux effrayés. Il se retrouva étendu de tout son long, le souffle coupé, les joues rougies plus par la honte que par le froid.

— « Ça va ? » demanda une voix douce, presque musicale.

Il leva les yeux, et vit un homme agenouillé près de lui, une écharpe rouge enroulée autour du cou. Ses yeux, d’un bleu clair, pétillaient d’inquiétude et de bienveillance.

— « Oui… enfin, je crois. Mon ego est plus blessé que ma jambe, » plaisanta Thomas, en essayant de se redresser.

— « Restez tranquille, je vais vous aider. Je m’appelle Julien. »

Julien l’aida à se relever, ramassa les paquets éparpillés, et, voyant que Thomas boitait un peu, insista pour le raccompagner. Le trottoir brillait sous les guirlandes, et la neige commençait à tomber doucement, comme si le ciel lui-même voulait sceller cette rencontre.

Sur le chemin, ils parlèrent de tout et de rien : des films de Noël trop sucrés qu’ils adoraient secrètement, du goût parfait du vin сhаuԁ, et du sentiment d’enfant qu’ils retrouvaient chaque hiver.

Julien riait souvent, et Thomas se surprenait à rire aussi — un rire sincère, oublié depuis longtemps.

Arrivés devant l’immeuble de Thomas, ils restèrent un moment sans rien dire. Le silence n’était pas gênant. Il était doux, enveloppant, comme la neige qui tombait autour d’eux.

— « Merci… pour votre aide. »

— « Avec рlаіsіг. Mais si vous voulez vraiment me remercier… prenez un café avec moi demain ? »

Thomas hésita un instant, puis sourit.

— « Marché conclu. Mais cette fois, c’est moi qui choisis le trottoir. »

---

Les jours passèrent, et la complicité devint tendresse.

Ils firent ensemble le marché de Noël, partagèrent des gaufres brûlantes, décorèrent un sapin qu’ils firent pencher à cause de trop de guirlandes. Leurs rires emplissaient l’appartement, se mêlant à la musique et à l’odeur du pain d’épices.

Le soir du réveillon, sous la neige qui retombait comme au premier jour, Julien prit la main de Thomas.

— « Tu sais, si je devais glisser un jour… j’aimerais que ce soit encore vers toi. »

Thomas, les yeux brillants, répondit simplement :

— « Alors épouse-moi, avant que le verglas ne fonde. »

Et, devant le sapin illuminé, leurs lèvres se trouvèrent, scellant leur histoire — née d’une chute, mais portée par la plus belle des magies : celle de Noël.

En réponse au message de Julien :

Je n'y avais pas pensé mais c'est une bonne idée. L'année dernière, j'avais lu une romande gay trop mignonne (cet hiver, heartstopper). Cette année, je n'ai pas trouvé grand chose sur la thématique gay et Noël ensemble (peut-être que stiky en connaît 😅 ) J'ai bien un livre sur les traditions de Noël autour du monde dans ma pile a lire. Et puis, il m'en reste plein : la pitié dangereuse de Stefan Zweig : on m'a dit que j'étais trop gentil, qu'il allait me guérir 😂, j'ai aussi les mangas de "the summer hikaru died " et spy x family à finir, Peau d'homme, une grosse brique avec des romans de jean genet et celui-ci que je viens de finir :

Moi je n'ai pas епvіе que tu guérisses !

En réponse au message de Julien :

Magnifique, demandons à chatgpt de corriger un peu le texte 😂

Sous le givre du destin

Le froid avait envahi la petite ville de Montfleur. Les lumières de Noël scintillaient dans les vitrines, des guirlandes dorées pendaient aux réverbères, et l’air sentait la cannelle et le chocolat сhаuԁ.

Thomas, emmitouflé dans son manteau, pressait le pas sur le trottoir verglacé, les bras chargés de paquets. Il avait promis à sa sœur d’apporter les cadeaux pour le réveillon. Mais le destin, facétieux, avait prévu un détour.

Un cri, un déséquilibre… et vlan !

Thomas glissa sur une plaque de verglas dissimulée sous la neige, ses paquets volant dans les airs comme des oiseaux effrayés. Il se retrouva étendu de tout son long, le souffle coupé, les joues rougies plus par la honte que par le froid.

— « Ça va ? » demanda une voix douce, presque musicale.

Il leva les yeux, et vit un homme agenouillé près de lui, une écharpe rouge enroulée autour du cou. Ses yeux, d’un bleu clair, pétillaient d’inquiétude et de bienveillance.

— « Oui… enfin, je crois. Mon ego est plus blessé que ma jambe, » plaisanta Thomas, en essayant de se redresser.

— « Restez tranquille, je vais vous aider. Je m’appelle Julien. »

Julien l’aida à se relever, ramassa les paquets éparpillés, et, voyant que Thomas boitait un peu, insista pour le raccompagner. Le trottoir brillait sous les guirlandes, et la neige commençait à tomber doucement, comme si le ciel lui-même voulait sceller cette rencontre.

Sur le chemin, ils parlèrent de tout et de rien : des films de Noël trop sucrés qu’ils adoraient secrètement, du goût parfait du vin сhаuԁ, et du sentiment d’enfant qu’ils retrouvaient chaque hiver.

Julien riait souvent, et Thomas se surprenait à rire aussi — un rire sincère, oublié depuis longtemps.

Arrivés devant l’immeuble de Thomas, ils restèrent un moment sans rien dire. Le silence n’était pas gênant. Il était doux, enveloppant, comme la neige qui tombait autour d’eux.

— « Merci… pour votre aide. »

— « Avec рlаіsіг. Mais si vous voulez vraiment me remercier… prenez un café avec moi demain ? »

Thomas hésita un instant, puis sourit.

— « Marché conclu. Mais cette fois, c’est moi qui choisis le trottoir. »

---

Les jours passèrent, et la complicité devint tendresse.

Ils firent ensemble le marché de Noël, partagèrent des gaufres brûlantes, décorèrent un sapin qu’ils firent pencher à cause de trop de guirlandes. Leurs rires emplissaient l’appartement, se mêlant à la musique et à l’odeur du pain d’épices.

Le soir du réveillon, sous la neige qui retombait comme au premier jour, Julien prit la main de Thomas.

— « Tu sais, si je devais glisser un jour… j’aimerais que ce soit encore vers toi. »

Thomas, les yeux brillants, répondit simplement :

— « Alors épouse-moi, avant que le verglas ne fonde. »

Et, devant le sapin illuminé, leurs lèvres se trouvèrent, scellant leur histoire — née d’une chute, mais portée par la plus belle des magies : celle de Noël.

Trop mimi.