En fait, dans un culte, ce n'est pas tant l'objet de vénération qui prête son style à la religion de la secte mais l'inextinguible besoin d'avilissement et d'anéantissement dans une communion mystique, besoin qui anime beaucoup d'humains.
Là où d'autres se contentent de modèles, ou de héros, les esprits religieux élèvent un absolu - La Toya Jackson, par exemple - pour débiter leurs idées les plus fantastiques sur la grandeur, la hauteur, la démesure de la divinité de leur choix.
Dans l'amour, l'on idéalise l'autre, à égalité ; dans une religion, l'on se déprend de soi et l'idéal, ailleurs, plus loin, là-bas, vide les individus.
La Toya Jackson, pop-star substitut de "dieu" ???



Enfin !!!
Je vous laisse à vos génuflexions !
"Church of La Toya" :



Ils communient comment, en écoutant les cantiques de La Toya ?