attendu que le tгаvеstіsme de monsieur c...., élément déclencheur de la présente procèdure n'est pas contesté et même plutôt assumé par le père qui n'entendait pas d'ailleur y renoncer. que l'attention du père a néanmois été attirée sur le besoin d'en préserver l'enfant et de respecter son désaccord puisque l'enfant a du mal à accepter le comportement de son pére. que cette particularitée apparaît d'ailleur à la source des difficultés de l'enfant dans sa relation parentale qui semble également grandemant problématique avec sa mère car trop fusionelle. qu'en effet l'expert indique que la fusion mère-fille a été favorisée tant par la démission paternelle que par le propre passé fragilisant de la mère qu'elle a été favorisée tant par la démission paternelle à la fois parce que monsieur c..... n'a pas été présent auprés d'ana¨s et parce que son image masculine n'est pas suffisament assurée, cela ayant pour conséquence de brouiller les repères de la fillette. qu'il apparaît que la dépendance pscho-affective de l'enfant avec la mère risque de nuire à son développement psycho-affectif. que l'expert conclu qu'il est impossible de réintroduire le pére dans cette relation avec son pére auquel est attachée. qu'il est important selon l'xpert que monsieu c.............. épargne à sa fille la représentation de ses tendances au tгаvеstіsme car l'enfant nécessite une figure masculine forte pour accepter de se séparer de sa mére précisant que la sensibilité paternelle doit rester d'ordre privé, l'étalage en étant fait ne pouvant que nuire à l'enfant. que sous réserve, l'expert indiquait qu'il était possible d'envisager un retour d'anaïs chez son pére lors de ses périodes d'accueil. que le droit de visite et d'hébergement progressif sera par conséquent fixé tel que précisé dans le dispositif sachant que le père sera tenu lors de ses période d'accueil qui lui seront dévolues d'amener l'enfant à ses activités telle que la grs. par ces motif le juge aus affaires familliales, statuant, par jugement contracdictoire, en premier ressot, aprés débats en chambre du con seil, dit que sauf meilleur accord, le pére rencontrera l'enfant dans les locaux de l'association adages espace famille service parenthèse 191 rue louis aragon 34070 montpellier (tel 04 67 27 24 04) jusqu'au 20.12.2013. deuf fois par mois dans le cadre du règlement intérieur du point, les horaires et dates étant à déterminer avec l'association, à charge pour la mère, de conduire ou de faire conduire et de reprendre ou de faire reprendre l'enfant. dit que ces rencontres auront lieu dans l'association pendant toute la durée de la visite. rapelle que les visites ainsi fixée ne pourront être exercées que sur la présente ordonnance aux responsables du point et après contact téléphoniques pris préalablement avec ces derniers. dit que les parties sont astreintes à respecter parfaitement le règlement intérieurde cette structure que les directives qui pourraient éventuellement leur être données par les intervents. dit que le coût de ce droit de visite médiatisé devra être pris en charge, à titre définitif par les parties, le paiment s'effectuant directement à l'association suivant le tarif qui leur sera préablement communiqueé. dit qu'à compter du 20.12.2013 le père bénéficiera d'un droit de visite simple les fins de semaine paires, le samedi de 10h à 18h. dit que à compter du 01.04.2013, sauf meuilleur accord le père accueillera l'enfant: les fins de semaines paires par référence à la numérotation des semaines figurant sur le calendrier, du vendredi 10h au dimanche 18h, cela même durant les vacances scolaires. au cas où un jour férié ou un pont précéderait le début d'un fin de semaine ou encore en suivrait la fin, de l'accueil s'exercera sur l'intégralité de la période. a charge pour le père d'aller chercher ou de ramener ou de faire ramener l'enfant à sa résidence habituelle ou en tout autre lieu convenu antre parents. dit qu'à defaut pour le père d'avoir exercé son droit au cours de la première heure de la fin de semaine qui lui est attribuée, il sera présumé y avoir renoncé, sauf accord contraire des parties? dit que sont considérer les vancance scolaires en vigueur dans l'académie dans le ressort de l'aquelle l'enfant a sa résidence habituelle.
textoo
Légende urbaine
27 novembre 2013 à 17:20
Bonsoir Lola,
Vraiment difficile pour eux d'avoir un langage clair appelant un chat un chat en deux lignes.
Mais le principal est de savoir ton avis sur ce jugement
lola34000
Membre pionnier
27 novembre 2013 à 18:24
Rien a voir avec la situation juste que le juge a retenue que j'était une tapette excuse pour mon language
theo81500
Membre élite
27 novembre 2013 à 18:47
Rien a voir avec la situation juste que le juge a retenue que j'était une tapette excuse pour mon language
que dire sur cette situation....rien j'espère que le jugement te conviens et bonne route à vous
draсопis
Légende urbaine
27 novembre 2013 à 18:58
Il faut avouer que la situation n'est pas banale, je tente de me mettre à la place du juge, à la place de l'expert, à la place de la fillette, qu'un père se complaise à tenir un rôle féminin en "concurrence" avec la mère, brouille en effet les repères d'un enfant. (je distingue ce cas de l'homoparentalité)
Au risque de paraître dur, être tгаvеstі et géniteur me semble contradictoire. On ne peut pas vouloir assumer les deux rôles à la fois. Un choix doit être fait.
aabb13
Membre confirmé
27 novembre 2013 à 19:15
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué
lola34000
Membre pionnier
27 novembre 2013 à 19:18
Alors que sa lui a été révéler contre mon gré ainsi qua ma famille pas grave je n'attend pas moins de certain sur se sujet je n'en dirais plus merci
draсопis
Légende urbaine
27 novembre 2013 à 19:22
Le but n'est pas de te provoquer ou de te blesser, mais effectivement cette situation est particulière, en cas de doute, un juge tranche en faveur d'une solution préservant au maximum l'enfant, et ce n'est pas évident, j'en conviens, cela dit, je n'émets qu'un avis sans plus.
boobsy
Membre confirmé
27 novembre 2013 à 19:29
Bien que celui puisse être dur, je pense que dans cette situation, il faut faire ce qui fera le moins souffrir la "fillette", aussi dur que cela puisse être pour les parents.
theo81500
Membre élite
27 novembre 2013 à 19:32
Tu nous livre le jugement en pâture sans nous dire ce que tu en pense. Tu aurais voulu quoi comme verdict du juge?