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Vous confiez-vous souvent ? - Le "Blabla" bar

Sujet de discussion : Vous confiez-vous souvent ?
  • kiwikou Membre pionnier
    kiwikou
    • 2 décembre 2014 à 16:18
    Vous trouverez mon sujet étrange voire nul (pour changer)

    J'aurais aimé savoir si vous vous confiez souvent aux gens de manière générale, cela peut être sur vos problèmes ou autres.

    Et si oui, avez-vous plus l'habitude de vous confier vers des gens que vous connaissez ou non ?

    Auriez-vous par exemple plus de faciliter à parler d'un problème ici plutôt qu'auprès d'un de vos proches ? Et comment arrivez-vous à l'expliquer ?

    (Ca sent le bide)
  • lessismore Membre suprême
    lessismore
    • 2 décembre 2014 à 16:27
    Moyen, voir pas du tt, je suis d'une famille ou la communication est nulle, du coup c'est normal pour moi de ne pas me confier a mes proches. J'ai eu une éducation qui pousse a tout garder soi, et s'endurcir comme ça donc plus simple pour moi de "me confier" a des inconnus.

    Maissss non il est bien ton sujet kiwikoukou
  • mahouarn Membre suprême
    mahouarn
    • 2 décembre 2014 à 17:15
    Bjr
    je me confies rarement a mes proches ou a qui que ce soit
    par contre j'écris , quand quelque chose ne vas pas
    tien , au faite , cela fait longtemps que cela ne m'est arrivé,
    donc tout vas bien
    je détestes écouter les autres geindre , je les fuis comme la peste!
  • dialbis Membre expérimenté
    dialbis
    • 2 décembre 2014 à 18:47
    Je me définirais un peu comme Hervé. Je me confierai plus facilement par l'écrit mais cela reste somme toute assez rare.
    Plutôt du genre introverti, j'ai néanmoins une amie de longue date que je considère comme mon alter égo. Elle connait tout de mon parcours. Et réciproquement.
    Sinon, d'une manière générale, je ne ressens pas particulièrement le besoin de me confier.
  • nigivir Membre élite
    nigivir
    • 2 décembre 2014 à 18:49
    Il est très bien, ton sujet, Kiwikou. Merci!

    Je viens aussi d'une famille (avec laquelle d'ailleurs, j'ai dû rompre) où parler, dire ses sentiments, ce que l'on pense, exprimer ses besoins est tabou. Pendant des années, je me suis crée une forteresse qui reposait sur un principe assez simple: j'y arriverai toute seule.

    Et puis un jour, je me suis effondrée, et j'ai bien dû reconnaître que seule, je n'y arriverai jamais.

    Donc, peu à peu, j'ai ouvert ma forteresse, mais le processus est très lent.

    J'ai commencé à me confier d'abord à un psychanalyste puis aussi par l'écriture, et je me suis rendue compte que mettre à distance les mots qui disent ce que j'ai à l'intérieur est la meilleure façon d'évacuer la souffrance et d'en faire quelque chose.

    Puis j'ai transposé ce principe, lorsque je sens l'occasion propice bien sûr, à toute personne rencontrée et j'ai commencé à partager ce que j'écrivais, avec des effets assez spectaculaires qui vont d'un grand apaisement à la prise de conscience qu'au fond, nous avons tous les mêmes problèmes, en passant par des moments d'échange très fulgurants.

    C'est vrai que parfois, il est plus simple de se confier à des inconnus et d'après moi, c'est parce que parfois, avec les personnes proches, un affect particulier empêche d'approfondir la conversation, et cela peut être dû à la peur du jugement et la peur de la perte ( par exemple, si je dis ça, il/elle va penser ça, donc je me censure pour que la personne ne soit pas fâchée et ne s'éloigne pas de moi).

    Le problème, c'est que se censurer, s'interdire n'emmène souvent que des regrets, des amertumes, des impressions -qui souvent se confirment- de ne pas avancer, de ne pas être soi-même ou de répéter les mêmes histoires.

    Du coup, en ce moment, je suis en train de pas mal me poser de questions sur les thèmes de la culpabilité (un vrai boulet pour moi et je dois m'en dégager) et de l'acceptation (associée à l'idée qu'on ne peut pas plaire à tout le monde).
    D'ailleurs, je suis persuadée que toute rencontre, voire même tout échange, a pour but de mettre en lumière notre fonctionnement (l'autre reflète ce que nous sommes, comme un miroir), de nous faire avancer par rapport à un préjugé ou un thème bien précis qui nous occupe, de nous permettre de nous détacher.
  • lorang75 Membre habitué
    lorang75
    • 2 décembre 2014 à 20:41
    En règle général, c'est plutôt moi qui écoute & qui conseille, j'inspire à la confidance, mais, aujourd hui, j'apprends à inverser les rôles, il n'est jamais trop tard pour bien faire !!!...
  • alexbi55 Membre expérimenté
    alexbi55
    • 3 décembre 2014 à 00:41
    Non, je ne me confie jamais, du moins, je ne le fais plus.
  • jakou61 Membre élite
    jakou61
    • 3 décembre 2014 à 12:05
    D une mamiere generale , je peux dire tres peu

    ou alors lorsque je le fais cela est fais dans un lieu ou cela nafecte pas ma spere privée

    exemple boutique de vetement coiffeur qui ne me connait pas et que j'y vais pour la premiere fois et cela me fais du bien pour vider mon sac

    ou tout simplement lorsque je croise une personne qui me questionsur un sujet alors dans ma tete ja fais un paralalèlle et je reponds à la question et cela me soulage ...

    voilà différente façon de se confier ou de soulager de petits problèmes récurents sans pourautant sités de nomns de personnes
  • maléfique Membre élite
    maléfique
    • 3 décembre 2014 à 12:22
    Répondre à ce sujet serait se confier, donc je ne répondrai pas.
  • dialbis Membre expérimenté
    dialbis
    • 3 décembre 2014 à 12:27
    Répondre à ce sujet serait se confier, donc je ne répondrai pas.

    Réponse d'une logique implacable

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