Je drague, un peu, beaucoup, passionnément, ... (page 2) - Littérature & poésie

Qui dira la ferveur qui noie la froide horreur
D'un lit sans compagnon, le peuplant de fantômes ?
Sans prétendre à la multiplicité des hommes,
Je crois que la vie fait sur ma personne erreur !!!


Oh que oui, ardemment et élégamment vôtre,


Climax69007.

Ce chinois qui se cache derrière un éventail
Mérite qu'on lui tende un imberbe poitrail :
Ainsi il ne pourra pas frisotter le poil,
ӏпtіmе et dru рlаіsіг avec un poilu mâle !


Voluptueusement vôtre,

Climax69007.

Merci pour ces dédicaces !

Merci pour ces dédicaces !

Ce sont amis que vent emporte,
Et il ventait devant ma porte,
Les emporta....

(Rutebeuf)





Par la glu et les mots, par le sang et l'orage,
Par ce qui demeure en moi d'humble pétale,
Suis-je voué, condamné à être une pédale
Que personne n'actionne, hors d'usage avant l'âge ?

Interrogativement vôtre,

Climax69007.

Très joli sonnet du serre-croupion

Je crois surtout que notre Clicli attend des réponses si on prend en compte son dernier quatrain !

Bien sûr que non tu n'es pas condamné !

Je crois surtout que notre Clicli attend des réponses si on prend en compte son dernier quatrain !

Bien sûr que non tu n'es pas condamné !

Passionnément vôtre,


Climax69007.

Alors, Monsieur, vous croyez tomber sur un bec,
Et tout de suite, vous retrouver comme à sec ?

Vous savez, je sais écouter, et puis me taire,
Et vous boire des yeux, lune gobant la terre !

Ne soyez pas timide, effrayé par le déluge
Des mots, ce sont appeaux, dont je vous laisse juge.

Ce sont des jeux utiles en un temps de silence,
Pour maquiller le sombre avec de la brillance !

Mais, remontez les flots, allez jusqu'à la plage,
Où mоп согрs vous attend, au loin, sur le rivage.

Il y a des beautés, à voyager ensemble,
Et avec vous mon cœur voudrait aller son amble.


Discrètement vôtre,


Climax69007.

Alors, Monsieur, vous croyez tomber sur un bec,
Et tout de suite, vous retrouver comme à sec ?

Vous savez, je sais écouter, et puis me taire,
Et vous boire des yeux, lune gobant la terre !

Ne soyez pas timide, effrayé par le déluge
Des mots, ce sont appeaux, dont je vous laisse juge.

Ce sont des jeux utiles en un temps de silence,
Pour maquiller le sombre avec de la brillance !

Mais, remontez les flots, allez jusqu'à la plage,
Où mоп согрs vous attend, au loin, sur le rivage.

Il y a des beautés, à voyager ensemble,
Et avec vous mon cœur voudrait aller son amble.


Discrètement vôtre,


Climax69007.

Tiens tiens, ça me fait un peu penser à Jean De La Fontaine ! Chouette, poétique et théâtrale !

A Climax, très en verve ce soir,

Dépêche-toi de succomber à la tentation avant qu'elle ne s'éloigne ...