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Je drague, un peu, beaucoup, passionnément, ... (page 3) - Littérature & poésie

Sujet de discussion : Je drague, un peu, beaucoup, passionnément, ...
  • alison-emma Membre pionnier
    alison-emma
    • 11 décembre 2013 à 23:27
    Réponse à Climax


    Comme l'епvіе d'un rien
    Comme deux vers en prose
    Comme ta fеssе au matin
    En prolonge la pause
    Comme l'infime aux mains
    Soulage cette arthrose
    Le désir du rônin
    Banni du pays d'Oz !


    Qu'on ne plisse pas les yeux
    Sur les feux de la rampe
    Car l'autel des gueux
    Ne dégage la crampe
    Des mots sales miteux
    Qu'on aligne par deux
    par ce que l'ombre se cambre
    Dans l'habit d'apparat
    De janvier à décembre
    Aux louanges des gars


    Chaque vers contre feu
    Sonne l'heure du moi
    De l'impie souffreteux
    Qui geint en contrebas
    Et le mètre élastique
    Ravive la couleur
    Des fleurs qu'on fait plastiques
    Car cet œillet ne meurt...
    Jamais si on l'astique
  • maléfique Membre élite
    maléfique
    • 12 décembre 2013 à 01:12
    Bonjour,

    Votre sujet de discussion a été déplacé dans le forum « Littérature & poésie » car celui-ci ne se trouvait pas dans une catégorie appropriée.

    A l'avenir, merci de bien vouloir vérifier que votre sujet se trouve dans la catégorie adéquate avant de publier celui-ci.

    Merci d'avance de votre compréhension et bon amusement sur les forums de discussions !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 12 décembre 2013 à 16:03
    Il y a des œillades, il y a de ces jeux
    De mains et de vilains, habilement suaves ;
    Il y a des ardeurs, qui brûlent les entraves
    Et qui font de tout bois dans sa verdeur des feux ;

    Et la flamme parcourt notre âge à qui mieux mieux,
    Je suis comme un désir, je suis comme les laves,
    Me consume en moi-même, et je monte aux octaves
    D'une voix foudroyant les plaintifs et les dieux ;

    Je voudrais ԁапs mоп lіt un séducteur très mâle
    Qui pourfende du pieu et parvienne à l'étoile,
    Lâchant sa voie lactée, très rude et impérial,

    Doux comme le satin, le regard sidéral,
    Balbutiant son рlаіsіг dans la splendeur obscure
    Où entre eux jouent les hommes en la tendresse pure.


    Follement vôtre,


    Climax69007.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 12 décembre 2013 à 16:08
    Bonjour,

    Votre sujet de discussion a été déplacé dans le forum « Littérature & poésie » car celui-ci ne se trouvait pas dans une catégorie appropriée.

    A l'avenir, merci de bien vouloir vérifier que votre sujet se trouve dans la catégorie adéquate avant de publier celui-ci.

    Merci d'avance de votre compréhension et bon amusement sur les forums de discussions !

    Bon, je veux bien que l'on prenne ma versification pour de la littérature !!!

    Néanmoins, ce qui importe, ce sont les nourritures très terrestres, roboratives, les caresses, la drague, quoi !
  • nigivir Membre élite
    nigivir
    • 12 décembre 2013 à 20:00
    Bonjour,

    Votre sujet de discussion a été déplacé dans le forum « Littérature & poésie » car celui-ci ne se trouvait pas dans une catégorie appropriée.

    A l'avenir, merci de bien vouloir vérifier que votre sujet se trouve dans la catégorie adéquate avant de publier celui-ci.

    Merci d'avance de votre compréhension et bon amusement sur les forums de discussions !

    Bon, je veux bien que l'on prenne ma versification pour de la littérature !!!

    Néanmoins, ce qui importe, ce sont les nourritures très terrestres, roboratives, les caresses, la drague, quoi !

    A quand une ode à la modération? Modération, celle qui déplace tes œuvres dans une autre rubrique, pas celle qui limiterait ta fougue littéraire (et autre ...).
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 12 décembre 2013 à 20:48
    L'océan, paraît-il, caresse les longues plages,
    Quelle consolation, que sont heureux les rivages !

    Et les nuages sur les hauteurs ont des caresses :
    Voilà qui ne réjouit pas ma paire de fеssеs !

    Ne parlons pas du Ьгапlе englobant les univers :
    Je ne danse jamais, de jalousie je suis vert !

    Les poissons qui frayent ont de ces girations lubriques,
    Je ne vous dis que ça, et moi aucun coup de triques !

    Le diable orageux bat sa femme dans les fièvres,
    Et il ne boit personne à mon âme sur mes lèvres !

    S'en va la saison belle, et les vents longs qui sibèrent
    Me glacent ԁапs mоп lіt, entre mes cuisses se terrent.

    Un rebond ԁапs mоп lіt, je me tourne et persévère
    A suivre du regard une ombreuse primevère.

    Ce n'est qu'une illusion, un effet du beau minuit,
    Quand la nuit pour le jour, affamée, se multiplie.

    Ce n'est qu'un bel effet, et les beaux mâles hantent ailleurs,
    Que de nuit dans mes yeux, mais où sont les ferrailleurs ?


    Lubriquement vôtre,


    Climax69007
  • yoomy Membre suprême
    yoomy
    • 12 décembre 2013 à 20:53
    Magistral Clicli :-*
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 12 décembre 2013 à 23:06
    Magistral Clicli :-*

    Je ne connais, de magistrale, que la barre
    De velours des Messieurs, celle qui se fait rare

    Au point que je croirais même qu'elle n'existe
    Que dans les rêves faux, car ce n'est pas le fіst-

    fuскіпg qui m'intéresse, j'y reviendrai toujours
    A la barre qui me dresse dans les amours !


    Platoniquement (mon сul !) vôtre ,


    Climax69007.
  • yoomy Membre suprême
    yoomy
    • 12 décembre 2013 à 23:11
    Je suis F.A.N. !

    2343.gif Clicli 1376.gif
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 12 décembre 2013 à 23:22
    Réponse à Climax


    Comme l'епvіе d'un rien
    Comme deux vers en prose
    Comme ta fеssе au matin
    En prolonge la pause
    Comme l'infime aux mains
    Soulage cette arthrose
    Le désir du rônin
    Banni du pays d'Oz !


    Qu'on ne plisse pas les yeux
    Sur les feux de la rampe
    Car l'autel des gueux
    Ne dégage la crampe
    Des mots sales miteux
    Qu'on aligne par deux
    par ce que l'ombre se cambre
    Dans l'habit d'apparat
    De janvier à décembre
    Aux louanges des gars


    Chaque vers contre feu
    Sonne l'heure du moi
    De l'impie souffreteux
    Qui geint en contrebas
    Et le mètre élastique
    Ravive la couleur
    Des fleurs qu'on fait plastiques
    Car cet œillet ne meurt...
    Jamais si on l'astique

    Toute tendresse est un éclair
    Sidérant qui me bouleverse,
    Et lorsque l'image reverse
    Sa chair, monte en moi l'éphémère

    Volupté du néant voilé,
    Et les paroles outragées
    Sont des liesses et des dragées
    Qui comblent un présent volé.

    Je n'ai personne dans ma fièvre,
    Je ne palpe que le beau lièvre
    Qui s'enfuit et se dissout

    Comme un fantôme aux lumières
    Lointainement venues des aires
    Où mort et vie embrassent tout.



    Dubitativement vôtre,


    Climax69007.

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