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A une force brutale faut-il opposer une force plus

Sujet de discussion : A une force brutale faut-il opposer une force plus
  • alison-emma Membre pionnier
    alison-emma
    • 7 décembre 2013 à 19:02
    A une force brutale, faut-il opposer une force plus brutale encore pour faire reigner l'ordre et la justice .
    Voilà un film qui m'a toujours fasciné : Titre : L'Homme qui tua Liberty Valance
    Titre original : The Man Who Shot Liberty Valance
    Réalisation : John Ford
    Scénario : James Warner Bellah (en) et Willis Goldbeck d'après l'histoire de Dorothy M. Johnson 
    Distribution
    John Wayne (V.F : Raymond Loyer) : Tom Doniphon
    James Stewart (V.F : Roger Tréville) : Ransom Stoddard
    Vera Miles (V.F : Nadine Alari) : Alice/Hallie Stoddard
    Lee Marvin (V.F : Claude Bertrand) : Liberty Valance
    Edmond O'Brien (V.F : Jean-Henri Chambois) : Dutton Peabody
    Andy Devine (V.F : Robert Dalban) : Marshall Link Appleyard
    Ken Murray (en) (V.F : Richard Francœur) : Doc Willoughby

    Synopsis
    En 1910, le sénateur Stoddard et sa femme Alice, un couple âgé, reviennent à Shinbone, dans l'Ouest, pour l'enterrement de Tom Doniphon. Le journaliste local, intrigué par la présence d'un sénateur venu assister à l'enterrement d'un cow-boy inconnu, presse Stoddard de s'expliquer. Stoddard, d'abord réticent, finit par accepter. Il évoque l'époque où fraîchement diplômé en droit, il débarqua avec l'idéal d'apporter la légalité dans l'Ouest.
    Peu avant son arrivée à Shinbone, la diligence est attaquée par une Ьапԁе de hors-la-loi. Stoddard est dévalisé et frappé par leur chef qui le laisse pour mort. Tom Doniphon le trouve, lui apprend le nom de son agresseur : Liberty Valance, un bandit de notoriété publique, et le dépose dans le restaurant de la jeune Alice (son secret amour) et de ses parents. Stoddard, encore faible, parle de faire arrêter Valance, ce qui provoque les sarcasmes de Doniphon : à Shinbone, c'est la loi des armes qui prévaut. Stoddard n'obtient pas plus le soutien du shérif, couard notable.
    En échange de son travail au restaurant, il est logé par Alice. Lorsque Valance le provoque, c'est Doniphon aidé de Роmреy qui le défendent, lui prouvant par là que seul le revolver peut protéger un homme. Stoddard refuse pourtant de renoncer à la voie légale. Il enseigne la lecture et l'écriture, donne des rudiments d'éducation civique aux enfants et s'entraîne secrètement au revolver. Stoddard est devenu l'ami de Peabody, le journaliste de Shinbone, qui dénonce la volonté des grands propriétaires de bétail de maintenir le Colorado en parcours ouvert, ce qui empêche le développement de la ville. Les grands propriétaires ont de plus engagé Liberty Valance, qui n'hésite pas à s'attaquer aux fermiers isolés pour servir leurs intérêts. La solution serait de faire entrer le Colorado dans l'Union et, justement, l'élection des représentants pour la Convention va avoir lieu. Le jour de l'élection, Doniphon refuse d'être candidat et, malgré les tentatives d'intimidation de Valance, ce sont Peabody et Stoddard qui sont élus aux dépens de Valance. Ce dernier, furieux, somme Stoddard de quitter la ville ou de l'affronter en duel le soir même.
    Peabody, qui vient de rédiger un article sur la défaite de Valance, est fouetté rudement par le bandit, non sans avoir défendu (vaillamment et verbalement) la liberté de la presse. Stoddard, pour qui c'en est trop, refuse de quitter la ville comme tous l'y engagent. Il prend son arme et sort dans la rue pour attendre Valance. Ce dernier sort et, après un tir d'intimidation, blesse Stoddard au bras. Stoddard ramasse l'arme de la main gauche pendant que Valance le met en joue. Les deux hommes tirent en même temps et Valance s'écroule, mort. Stoddard retourne vers Alice qui le soigne. Doniphon, voyant la scène, pense avoir perdu Alice et brûle la maison qu'il bâtissait pour le mariage.
    Peabody et Stoddard se rendent à la convention où l'homme qui a tué Liberty Valance est perçu comme un héros. Peabody le propose comme candidat pour représenter le parti pro-Union à Washington, mais Stoddard, écœuré, s'apprête à retourner dans l'est. Doniphon l'arrête alors, lui révélant qu'en réalité, c'est lui-même qui a tiré sur Valance et l'a tué au moment de l'échange de coups de feu. Stoddard retourne pour se faire élire.
    Arrivés au terme de ce récit, les journalistes qui l'écoutent décident finalement de ne pas faire paraître l’article. L'histoire véritable de Tom Doniphon restera donc cachée pour toujours afin de de préserver la légende : « On est dans l'Ouest, ici. Quand la légende dépasse la réalité, alors on publie la légende » (This is the West, sir. When the legend becomes fact, print the legend).
    Alors que le couple quitte la petite cité pour retourner à Washington, un employé de train leur annonce qu'il vient d'arranger les correspondances spécialement pour eux : « Rien n'est trop beau pour l'homme qui a tué Liberty Valance ! ».

    Moi j'en ai toujours conclu que la démocratie était née de deux choses : du meurtre et du mensonge
    Et vous ?
  • bonnetгоuge Membre confirmé
    bonnetгоuge
    • 7 décembre 2013 à 19:10
    A une force brutale, faut-il opposer une force plus brutale encore pour faire reigner l'ordre et la justice .
    Voilà un film qui m'a toujours fasciné : Titre : L'Homme qui tua Liberty Valance
    Titre original : The Man Who Shot Liberty Valance
    Réalisation : John Ford
    Scénario : James Warner Bellah (en) et Willis Goldbeck d'après l'histoire de Dorothy M. Johnson 
    Distribution
    John Wayne (V.F : Raymond Loyer) : Tom Doniphon
    James Stewart (V.F : Roger Tréville) : Ransom Stoddard
    Vera Miles (V.F : Nadine Alari) : Alice/Hallie Stoddard
    Lee Marvin (V.F : Claude Bertrand) : Liberty Valance
    Edmond O'Brien (V.F : Jean-Henri Chambois) : Dutton Peabody
    Andy Devine (V.F : Robert Dalban) : Marshall Link Appleyard
    Ken Murray (en) (V.F : Richard Francœur) : Doc Willoughby

    Synopsis
    En 1910, le sénateur Stoddard et sa femme Alice, un couple âgé, reviennent à Shinbone, dans l'Ouest, pour l'enterrement de Tom Doniphon. Le journaliste local, intrigué par la présence d'un sénateur venu assister à l'enterrement d'un cow-boy inconnu, presse Stoddard de s'expliquer. Stoddard, d'abord réticent, finit par accepter. Il évoque l'époque où fraîchement diplômé en droit, il débarqua avec l'idéal d'apporter la légalité dans l'Ouest.
    Peu avant son arrivée à Shinbone, la diligence est attaquée par une Ьапԁе de hors-la-loi. Stoddard est dévalisé et frappé par leur chef qui le laisse pour mort. Tom Doniphon le trouve, lui apprend le nom de son agresseur : Liberty Valance, un bandit de notoriété publique, et le dépose dans le restaurant de la jeune Alice (son secret amour) et de ses parents. Stoddard, encore faible, parle de faire arrêter Valance, ce qui provoque les sarcasmes de Doniphon : à Shinbone, c'est la loi des armes qui prévaut. Stoddard n'obtient pas plus le soutien du shérif, couard notable.
    En échange de son travail au restaurant, il est logé par Alice. Lorsque Valance le provoque, c'est Doniphon aidé de Роmреy qui le défendent, lui prouvant par là que seul le revolver peut protéger un homme. Stoddard refuse pourtant de renoncer à la voie légale. Il enseigne la lecture et l'écriture, donne des rudiments d'éducation civique aux enfants et s'entraîne secrètement au revolver. Stoddard est devenu l'ami de Peabody, le journaliste de Shinbone, qui dénonce la volonté des grands propriétaires de bétail de maintenir le Colorado en parcours ouvert, ce qui empêche le développement de la ville. Les grands propriétaires ont de plus engagé Liberty Valance, qui n'hésite pas à s'attaquer aux fermiers isolés pour servir leurs intérêts. La solution serait de faire entrer le Colorado dans l'Union et, justement, l'élection des représentants pour la Convention va avoir lieu. Le jour de l'élection, Doniphon refuse d'être candidat et, malgré les tentatives d'intimidation de Valance, ce sont Peabody et Stoddard qui sont élus aux dépens de Valance. Ce dernier, furieux, somme Stoddard de quitter la ville ou de l'affronter en duel le soir même.
    Peabody, qui vient de rédiger un article sur la défaite de Valance, est fouetté rudement par le bandit, non sans avoir défendu (vaillamment et verbalement) la liberté de la presse. Stoddard, pour qui c'en est trop, refuse de quitter la ville comme tous l'y engagent. Il prend son arme et sort dans la rue pour attendre Valance. Ce dernier sort et, après un tir d'intimidation, blesse Stoddard au bras. Stoddard ramasse l'arme de la main gauche pendant que Valance le met en joue. Les deux hommes tirent en même temps et Valance s'écroule, mort. Stoddard retourne vers Alice qui le soigne. Doniphon, voyant la scène, pense avoir perdu Alice et brûle la maison qu'il bâtissait pour le mariage.
    Peabody et Stoddard se rendent à la convention où l'homme qui a tué Liberty Valance est perçu comme un héros. Peabody le propose comme candidat pour représenter le parti pro-Union à Washington, mais Stoddard, écœuré, s'apprête à retourner dans l'est. Doniphon l'arrête alors, lui révélant qu'en réalité, c'est lui-même qui a tiré sur Valance et l'a tué au moment de l'échange de coups de feu. Stoddard retourne pour se faire élire.
    Arrivés au terme de ce récit, les journalistes qui l'écoutent décident finalement de ne pas faire paraître l’article. L'histoire véritable de Tom Doniphon restera donc cachée pour toujours afin de de préserver la légende : « On est dans l'Ouest, ici. Quand la légende dépasse la réalité, alors on publie la légende » (This is the West, sir. When the legend becomes fact, print the legend).
    Alors que le couple quitte la petite cité pour retourner à Washington, un employé de train leur annonce qu'il vient d'arranger les correspondances spécialement pour eux : « Rien n'est trop beau pour l'homme qui a tué Liberty Valance ! ».

    Moi j'en ai toujours conclu que la démocratie était née de deux choses : du meurtre et du mensonge
    Et vous ?

    Juste un petit extrait de ce magnifique film....,en version original j'adore l'Anglais!! Et pour répondre à ta question...,la Démocratie camarade est une "сhіеппе" qui a besoin d'être ԁоmіпée!!VIVE LA RÉVOLUTION!!

  • cactus_sss Membre suprême
    cactus_sss
    • 7 décembre 2013 à 19:14
    On n'est pas obligé de "citer" systématiquement, surtout quand c'est un pavé ou quand on répond directement au posteur... 'Fin, moi c'que j'en dis, hein...
  • bonnetгоuge Membre confirmé
    bonnetгоuge
    • 7 décembre 2013 à 19:16
    On n'est pas obligé de "citer" systématiquement, surtout quand c'est un pavé et quand on répond directement au posteur... 'Fin, moi c'que j'en dis, hein...

    Bien Camarade...,c'est noté!!
  • yoomy Membre suprême
    yoomy
    • 7 décembre 2013 à 19:20
    Il a toujours fait ça en même temps.
  • mikaeldu13 Membre pionnier
    mikaeldu13
    • 7 décembre 2013 à 19:22
    On n'est pas obligé de "citer" systématiquement, surtout quand c'est un pavé et quand on répond directement au posteur... 'Fin, moi c'que j'en dis, hein...

    excuse mais si t'as remarqué on m'a pas appris je sais pas faire

    bref un film sublime mais sorry bonnet rouge j'entrave rien à l'anglais !
  • mikaeldu13 Membre pionnier
    mikaeldu13
    • 7 décembre 2013 à 19:24
    Il a toujours fait ça en même temps.

    on est plusieurs a pas savoir faire et c'est vrai que c'est hummm
    nul de se payer la page à défiler
    Sorry
  • peter_pan Membre émérite
    peter_pan
    • 7 décembre 2013 à 19:27
    bonsoir je dirais aussi de la méchanceté de la mauvaise foi et d'une mauvaise éducation etc....
  • cactus_sss Membre suprême
    cactus_sss
    • 7 décembre 2013 à 19:36
    Il a toujours fait ça en même temps.

    Mouais, 'fin en même temps, je le dis pas que pour lui. Et sans agressivité aucune.
  • mikaeldu13 Membre pionnier
    mikaeldu13
    • 7 décembre 2013 à 19:39
    Alison (je sais pas faire autrement pour répondre)
    (et vue ta culture tu ne devrais pas TE poser la question ! A nous oui car certains auront d'autres approches et c'est là l'interet de ton post )

    Ta conclusion n'est pas loin de la vraie vérité (je sais pléonasme
    c'est voulu - je dis ça pour un rigolo qui m'a repris - F""" -)
    depuis l'antiquité on ment et tue pour le pouvoir !

    A nos jour on se dit en Démocratie blablabla on ment ( on déguise la vérité pardon ) et on tue ou fait disparaitre les géneurs et on continue !

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