Alors on danse, et on peut jouer si on veut

Juillet il y a bien longtemps. Au soleil, prendre le temps, gоЬег les mouches, ah un petit moment de bonheur ! Dans le val, c’était si bon de flâner. Oublier bac, annales… Admirer la nature bien vivante et gaillarde, un roc, là tout près. Déjà, vacances rimaient avec insouciance. Un chat, chat tigré si je me souviens, menu et gracieux s’était élancé après ce lot de souriceaux que j’avais une fois aperçu. Le teint mat, disons hâlé, je me sentais bien. A la fortune du pot, le casse-croûte emporté s’annonçait délicieux. Une part de gâteau au rhum (baba sans doute), et sans bougie. Comme ça, pas de cire taquinant la pâtisserie. Ah, je me serai bien écouté mon disque aux couleurs antillaises. Mais tu parles, Charles ! tonton me l’avait piqué ! Pas grave. Allongé par terre, à même le sol, il est vrai un peu sale, ça n’était rien. Les yeux grand ouverts, tout ouïe, ce temps me plaisait. Et bientôt, un pas au loin. Des cris, des bips-bips. Hop, debout ! On venait me chercher pour aller danser

PS : c’est trop bon un petit tour de piste, vous trouvez pas ?