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Est ce un puit sans fond ou Est.aim.puis (page 2)

Sujet de discussion : Est ce un puit sans fond ou Est.aim.puis
  • yoomy Membre suprême
    yoomy
    • 6 octobre 2014 à 18:06
    Je n'ai jamais compris ce que les gens pouvaient lui trouver. Il pète un câble depuis la mort de son fils en s'enfermant dans la surabondance. Mais pour être honnête, le personnage et ses frasques m'indiffèrent complètement x

    Quand je vois LaToya je ne me dis pas que toutes les américaines sont des poufs fortunées et refaites de partout par exemple

    Laisse Toy Toy en dehors de tout ça s'il-te-plaît. Elle ne veut rien avoir à faire avec ce vil has-been mad_zpse3db3218.gif xx
  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
    • 6 octobre 2014 à 18:38
    Moi ca me fait rire tout ces exilés fiscaux qui partent pour payer moins d'impôts et qui sont toujours en France.
    Aznavour et Delon ca fait 40 ans qu 'ils sont des résidents suisses et 40 ans qu 'ils sont toujours en France.
    France 2, payé par nos redevances a consacré 1 soirée spéciale à Aznavour.
    Comme Johnny qui vient toujours chanter en France.
    Normal il y fait 99 % de ses ventes.

    Qu 'il dégagent !
  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
  • metal Membre émérite
    metal
    • 6 octobre 2014 à 19:11
    Et oui Superbi,
    encore un dysfonctionnement de notre système qui participe à créer des fossés, avec l'argent publique

    Affaire Depardieu aura eu le grand mérite non seulement de susciter le débat fiscal mais aussi, de façon plus inattendue, de porter la lumière sur l’inefficacité et l’obsolescence de notre système de financement du cinéma. La tribune de Vincent Maraval[1] a stigmatisé avec raison les montants exagérés des cachets des acteurs français par rapport à leurs collègues étrangers. Il s’agit en réalité d’une des manifestations les plus choquantes d’un dysfonctionnement général du système qui est encore aujourd’hui tabous. Rappelons-le, les films français sont aujourd’hui presque tous produits grâce à un préfinancement à 100% des frais. Autrement dit, le producteur ne prend aucun risque lorsqu’il produit un film, mais engrange en revanche les bénéfices en cas de succès. Une étude[2] réalisée en 2005 montrait que, sur les 162 films produits cette année-là, seuls 15 films avaient recouvré leurs dépenses de production et de distribution sur l’ensemble des premières exploitations. Le déficit des dépenses engagées (45% de leur montant) était financé d’une part par les acteurs privés (notamment les chaînes de télévision via leurs obligations d’investissement), d’autre part par les contribuables via la redevance, le crédit d’impôt, les aides régionales et les outils de défiscalisation (SOFICA). Le système est ainsi ргоfопԁémепt déresponsabilisant et регvегs puisque les producteurs sont couverts contre le risque d’échec mais bénéficient en revanche des succès. Mutualisation des pertes et privatisation des bénéfices… cela rappel précisément ce que l’on a beaucoup reproché aux banques au plus fort de la crise financière ! Comme la montré une remarquable thèse de doctorat[3], un tel système qui paye tout par avance génère une multitude de dérives : gonflement des devis moyens qui sont essentiellement situés dans les extrêmes (très gros d’un côté, petits de l’autre, et absence presque totale de films de taille moyenne), concentration des producteurs et quasi monopole d’un très petit nombre d’acteurs. Finalement, les buts poursuivis par la politique culturelle en faveur du cinéma ne semblent guère atteints : manque de diversité des films produits, accès populaire limité aux œuvres "ambitieuses" et rayonnement assez faible de notre industrie par les exportations. Le système français de soutien au cinéma est fondé sur une assomption qui nous semble de plus en plus discutable : celle selon laquelle le cinéma étant un produit "culturel", il n’est par nature pas capable dans la plupart des cas d’être économiquement rentable, ce qui justifie la prise en charge publique du financement (puisque la création culturelle a des externalités positives auprès de ce même public). Or l’industrie du cinéma doit se rendre compte que l’ère numérique dans laquelle nous entrons va totalement bouleverser l’économie de l’exploitation cinématographique. La place relative de la salle dans les recettes va diminuer au profit des multiples formes de consommation en vidéo à la demande. La fenêtre d’exploitation du film va devenir virtuellement infinie, ouvrant des opportunités de rentabilisation et de diffusion des œuvres beaucoup plus diversifiées. Il va devenir possible de sortir d’un système dévoyé et inefficace, le film redevenant, horresco referens, un produit comme un autre faisant appel à la prise de risque d’investisseurs, parmi lesquels les investisseurs particuliers via un crowdfunding en plein essor. Mais pour que les films français puissent bénéficier du nouvel ordre numérique et trouver un équilibre plus sain, le système actuel de financement doit être totalement refondé et les offres de VàD rendues plus accessibles et attractives (c’est-à-dire moins chères et les catalogues plus diversifiés). Dans la prolongement des travaux en cours de la mission Lescure sur l’avenir de la politique culturelle à l’ère du numérique, les pouvoirs publics devront enfin cesser de justifier par "l’exception culturelle" ce qui n’est au fond qu’une abdication face à des lobbies défendant leurs rentes.

  • greenary Membre élite
    greenary
    • 6 octobre 2014 à 19:24
    Tiens au fait...saviez vous que votre richissime Arnault
    le plus riches de France qui avait demandé la nationalité
    Belge se l'est vue refusée?
    Il ne peut pas car il n'a pas prouvé qu'il avait des liens
    assez forts avec la Belgique.
    Donc bye bye Bernard Arnault!
    je suis sûr qu'il ne s'en remettra pas...
  • metal Membre émérite
    metal
    • 6 octobre 2014 à 19:36
    Green, c'était quoi les liens d'attachements de Depardieu, la bière
  • greenary Membre élite
    greenary
    • 6 octobre 2014 à 19:38
    Green, c'était quoi les liens d'attachements de Depardieu, la bière

    Depardieu n'a pas demandé la nationalité Belge
    mais il réside en Belgique...entre autres

    Par contre Johnny a été débouté car son dossier pour
    demande n'était pas convaincant.
    Mais lui , son père était Belge et il a un lien avec le pays.
  • metal Membre émérite
    metal
    • 6 octobre 2014 à 19:45
    Obélix chez Gaston Lagaffe, ils doivent bien se marrer ensembles. Et il peut accompagner Tintin chez les soviets, il a son passeport
  • greenary Membre élite
    greenary
    • 6 octobre 2014 à 19:50
    Peut être...
    Ceci pour vous dire qu'il est beaucoup moins aisé
    d'obtenir la nationalité Belge qu'on pense...
    Même pour les riches!
    La plupart des riches Français résident chez nous
    mais restent Français et payent beaucoup d'impôts
    en France.



    Oui je sais c'est un pays de dingues
  • yggdrasil Membre élite
    yggdrasil
    • 6 octobre 2014 à 20:15
    Suis-je le seul à trouver que Depardieu cabotine terriblement dans ses rôles d'Obélix (la bonhommie humoristique et sympathique du personnage sauve un jeu d'acteur sur le déclin) ? Et que son dernier rôle intéressant (à défaut d'avoir été génial) a été celui du Colonel Chabert, dans l'adaptation éponyme du roman balzacien ?

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