Euthanasie des enfants (page 3)

La souffrance à un sens quand elle endurcit et peut aider la personne à surmonter des choses pénibles à venir, mais à quoi sert de ce calvaire quand peu de jours à venir sont comptés?

Bonjour Verduгіп,

A notre époque la souffrance ne doit plus exister, la médecine est assez avancée pour savoir si un avenir est possible ou pas.
A quoi sert de s'acharner sur une vie voué à péricliter prématurément, quelle soit jeune ou âgée ?

je ne suis pas d'accord, la souffrance fait et doit faire partie de la vie, elle ne tue pas et rend plus fort.

Bonjour Verduгіп,

A notre époque la souffrance ne doit plus exister, la médecine est assez avancée pour savoir si un avenir est possible ou pas.
A quoi sert de s'acharner sur une vie voué à péricliter prématurément, quelle soit jeune ou âgée ?

je ne suis pas d'accord, la souffrance fait et doit faire partie de la vie, elle ne tue pas et rend plus fort.

on voit bien que tu ne souffre pas pour dire de tels connerie.

On voit bien que tu ne souffre pas pour dire de tels connerie.
mais qu'est-ce que tu en sais,
ha oui c'est vrai tu es plus fort que tout le monde, j'avais oublié

On se calme les enfants !

Qui sommes nous pour decider d'une fin quelqu'elle soit! qui sommes nous pour forcer un quelconque acharnement? Peut-on être sur à 100% qu'il n'y aura plus de changement d'état clinique?quand peut on definir que le patient ne souffre pas. accompagnement en soin de fin vie soit des soins palliatifs ne sont qu'un moindre mal. Ou est la limite de la toute puissance de l'être humain face à l'autre enfant ou adulte impuissant? les derective anticipé permettent pour les patitents adulte de reduire un peu ce questionnement. Mais qu'en est il de l'enfant effectivement? je pense que jamais on aura LA bonne solution il y 'aura tj un questionnement a ce sujet , il n'existera jamais malheureusement de bonne solution...

On voit bien que tu ne souffre pas pour dire de tels connerie.

mais qu'est-ce que tu en sais,
ha oui c'est vrai tu es plus fort que tout le monde, j'avais oublié
pas du tout et j'espère ne pas donner cette image.
Tout simplement parce que tu ne dirais pas ça si tu souffrais vraiment.
Je te parle pas d'un mal de tête bien sur...

Bonjour à Tous, j'ai lu ce matin un petit article qui me dérange sur ce sujet. JL Roméro conseiller Régional d'IDFet homo, qui est a la tête du collectif ADMD pour l'autorisation de l'euthanasie, change le libellé de la "revendication" de son collectif:
Pour demander que ce soit le malade qui puisse décider de sa mort dans le cas d'une maladie dite incurable et insupportable.

Là ou je sens le mauvais côté de cette demande, c'est que le malade qui souffre peut avoir un mauvais jugement et une perception faussée de par la douleur qu'il a a supporté.
Bien qu'il soit aux premières loges pour savoir ce qu'il endure.
Les progrès de la médecine et aussi le temps de savoir s'il n'y a pas une possible guérison, avoir aussi s'il n'y a pas d'autres pays plus avancé dans le domaine spécifique à cette maladie.

Ma conclusion perso, c'est qu'il n'y a pas de bonne solution
mais que je reste favorable à la possibilité de dernier recours à l'euthanasie

La décision par des membres familiaux peut aussi avoir de pernicieux travers.

Bonjour:)
oui, il y a toujours des impondérables!..
Mais En Belgique, l'injection léthale a lieu que si il n'y a vraiment plus de traitement possible et utile et que le pronostique vital est quazi nul .
L'avis est donné par un "cartel" de médecins et lorsque il y a unanimité, ces médecins consultent les proches, et ensemble décident de l'euthanasie.
Mais tu as raison, il faut être extrèmement vigilant.
merçi:)

Bonjour à Tous, j'ai lu ce matin un petit article qui me dérange sur ce sujet. JL Roméro conseiller Régional d'IDFet homo, qui est a la tête du collectif ADMD pour l'autorisation de l'euthanasie, change le libellé de la "revendication" de son collectif:
Pour demander que ce soit le malade qui puisse décider de sa mort dans le cas d'une maladie dite incurable et insupportable.

Là ou je sens le mauvais côté de cette demande, c'est que le malade qui souffre peut avoir un mauvais jugement et une perception faussée de par la douleur qu'il a a supporté.
Bien qu'il soit aux premières loges pour savoir ce qu'il endure.
Les progrès de la médecine et aussi le temps de savoir s'il n'y a pas une possible guérison, avoir aussi s'il n'y a pas d'autres pays plus avancé dans le domaine spécifique à cette maladie.

Ma conclusion perso, c'est qu'il n'y a pas de bonne solution
mais que je reste favorable à la possibilité de dernier recours à l'euthanasie

La décision par des membres familiaux peut aussi avoir de pernicieux travers.

Pour les enfants, c'est délicat. il faudrait vraiment que la maladie soit incurable et insupportable. Parce que tout de même, au delà de l'aspect sentimental, un enfant est au début de sa vie. L'acharnement peut en valoir la chandelle. Seulement il faut évdemment qu'il y quelques chances de réussite, et que les risques de séquelles ne soient pas trop importants. si c'est pour que le môme vive toute sa vie en hadicapé assisté. pas la peine.