En réponse au message de parfum-de-femme :
En réponse au message de studio :
Quand on est un battant il y a toujours un espoir.
Ça dépasse le cadre musical, ce que je vais écrire mais je range le fait d'être "battant" face à la maladie, de "lutter" contre elle dans une vision romantique du truc…
En plus, cela place, quand on y réfléchit, ceux qui sont emportés par la maladie au rang de looser.
C'est un peu comme, quand mon premier crabe s'est intéressé à ma pomme, une amie me confiait que j'étais courageux.
C'était gentil de sa part mais le courage n'est pas le critère d'attribution de la maladie…
Non, nul besoin d'être courageux ou battant.
La lutte est facultative et cette illusion de combattre est bonne pour le moral mais peu efficace en terme de résultats.
Il y a des gens qui combattent et passent à la trappe et des gens qui se laissent aller et qui survivent…
On a епvіе de croire le contraire car cela nous donnerai une prise sur l'évolution du mal, voire le vaincre par sa propre volonté. 
Reste l'епvіе de vie, ce qui nous y retient.
Ce n'est pas un combat, juste une appétence qui ne prolonge sans doute rien mais qui fait mettre un pied devant l'autre en attendant d'avoir les deux devant… 
Je ne pense pas Pdf que des traitements à base de chimiothérapie, de radiothérapie soient les uniques réponses à la maladie.
J'ai eu des amis avec des cancers avancés ou porteurs du VIH contre lesquels aucun service d oncologie n aurait pu au moins faire régresser. Non, ceux qui ont perdu la lutte ne sont pas des loosers, loin s en faut.
J'en connais d autres qui vivent très bien avec leur cancer ( sans metastase ) mais qui doivent s accrocher à la vie coute que coute s il veulent s en sortir ou retarder l échéance.
Tout dépend surtout du degré d avancement de cette pathologie.
Il vaut quand même mieux avoir un moral en acier trempé quand on est confronté à la maladie et quelquesoit la maladie.