En réponse au message de acis :
Depuis ma plus tendre enfance (et je ne saurais jamais assez gré à ma mÚre et à mon pÚre de ne jamais m'avoir défenestré durant mes premiÚres années), je dors trÚs peu. Je n'ai jamais vraiment "fait mes nuits", selon l'expression bénie des parents. Seulement m'a-t-on appris trÚs tÎt - aprÚs le stade larvaire du nourrisson - à m'occuper seul pendant que cet enfoiré de marchand de sable épuise son stock dans d'autres yeux que les miens
Morphée a d'autres chats à fouetter : j'en ai pris mon parti.
Désormais, je parviens à m'endormir comme une mаssД le soir, mais me réveille quatre heures plus tard ; quelques fois cinq, lorsque mon cerveau veut bien m'accorder une grasse matinée inattendue. C'est ainsi.
Et c'est aussi bien ainsi : comme Lessismore, j'aime le matin.
Bonsoir Acis,
Je me demande si c'est une bénédiction ou une malédiction...
J'imagine le temps que tu gagnes pour faire autre chose que dormir...
D'un autre cotĂ©, tu ne peux pas connaitre le bien ĂȘtre que procure une bonne nuit de sommeil...
Enfin , je dis ça sans savoir, j'imagine seulement, car je ne suis pas dans ton corps...
(Binalla, je te demande de ne faire aucune remarque libidineuse sur ma derniĂšre phrase)
