Bon alors t uas touours une vie sociale au travers de ton boulanger c'est sur oude ton commercant du coin ... oui ....voir de la caissiere au pire ...
Pour moi, ces contacts "au pire" sont très importants, et je ne les néglige jamais.
J'apprécie qu'une ou un inconnu(e) me sourit, cela illumine ma journée.
Après, les collègues, etc ..., oui, je comprends que ce tu veux dire, Ikki, mais on peut accepter qu'ils existent tout en se préservant (oui, en coupant le téléphone quand on n'a pas епvіе de parler par exemple)
Vivre en ermite a fait partie de mes idéaux à un moment donné, mais les fois ou j'ai avancé dans ma vie, c'est grace aux "autres".
Et je les en remercie.
Du coup, à présent, je me dis qu'ils me sont indispensables, ce qui ne m'empeche pas, lorsque j'en ressens le besoin, de me "préserver".