La cage aux folles (page 2)

Mois sa me fais rire pour un film qui a plus de 30ans et que je compare certain sujet du forum Ya pas d'évolution mais bon ces vrai que je suis très diffèrent

Entre autre un golden globe et un remake américain avec Robin Williams et Gene Hackman, d'autres ont apparemment beaucoup apprécié...

Moi c est pour justement ce côté cliché , et puis c est amusant au vue de toutes les autres conneries qu'il y as , autant rire avec une bonne connerie

J adore des grands artistes je me lasse pas de ces films

Le côté homo = mec efféminé qui pousse un petit cri aigu en cassant sa biscotte, non je ne suis pas sensible à ce genre d'humour décadent.

Beh, sur ce coup là, je te rejoins :)

Moi j'ai toujours adoré ce film et cela me dérange pas de le revoir à plusieurs reprises. En ce qui concerne le côté "cliché" , et bien je dirais que cliché ou pas, on s'en tape car au final, même si des homos réagissent vraiment de cette manière là et qu'ils se sentent bien dans leur peau, c'est le principal . Moi je dis qu'à partir du moment où tu te sens bien dans ta peau , tel que tu es, c'est le principal et que discuter ou se prendre le chou parce-que telle ou telle chose est pas bien, fait cliché, c'est perdre son temps .

J'adore ce film !
J'aime beaucoup l'histoire !

Ce film, prétendument comique, est d'une lourdeur impardonnable.

Non, les personnages ne sont pas des caricatures, ce sont des clichés, c'est-à-dire des représentations qui confortent les spectateurs dans leurs préjugés les plus crasses.

L'humour de ce scénario est misérable et repose sur un seul ressort, comment confectionner au petit une famille présentable pour que le mariage avec une famille grande-bourgeoise soit dans le sac.

L’acceptation ou non de sa propre homosexualité n'a rien à voir avec le jugement que l'on peut et doit porter sur ce film : CE FILM EST D'UNE NULLITÉ CONSTERNANTE.

Bref, je reverrai mille fois les films d'Ernst Lubitsch ou " Le Dictateur" de Charlie Chaplin, mais je jetterai définitivement aux pelosses ce film qui se moque des homosexuels davantage qu'il ne les prend pour personnages et fait rire de leurs travers.

Il y a une différence entre faire rire de son sujet et faire rire à propos de son sujet : et "La cage aux folles fait se moquer des homosexuels", d'un rire gras, suffisant, condescendant, en présentant de ceux-ci des clichés confondants par leur schématisme ; et ce n'est même pas une bonne comédie de mœurs.

Tous les homophobes du monde réunis trouveront dans ce film, sous couvert de comiques, les représentations les plus élémentaires de leurs préjugés envers les homosexuels.

Il y en a marre de la complaisance en faveur de ce film médiocre, qui blesse le comique et qui insulte aux homosexuels.

- Bref, un avis dissonant.

- Libre à vous de vous complaire dans le miroir déformant que vous tend ce film, et de rire en même temps que les homophobes, et en chœur avec eux.

Ce film, prétendument comique, est d'une lourdeur impardonnable.

Non, les personnages ne sont pas des caricatures, ce sont des clichés, c'est-à-dire des représentations qui confortent les spectateurs dans leurs préjugés les plus crasses.

L'humour de ce scénario est misérable et repose sur un seul ressort, comment confectionner au petit une famille présentable pour que le mariage avec une famille grande-bourgeoise soit dans le sac.

L’acceptation ou non de sa propre homosexualité n'a rien à voir avec le jugement que l'on peut et doit porter sur ce film : CE FILM EST D'UNE NULLITÉ CONSTERNANTE.

Bref, je reverrai mille fois les films d'Ernst Lubitsch ou " Le Dictateur" de Charlie Chaplin, mais je jetterai définitivement aux pelosses ce film qui se moque des homosexuels davantage qu'il ne les prend pour personnages et fait rire de leurs travers.

Il y a une différence entre faire rire de son sujet et faire rire à propos de son sujet : et "La cage aux folles fait se moquer des homosexuels", d'un rire gras, suffisant, condescendant, en présentant de ceux-ci des clichés confondants par leur schématisme ; et ce n'est même pas une bonne comédie de mœurs.

Tous les homophobes du monde réunis trouveront dans ce film, sous couvert de comiques, les représentations les plus élémentaires de leurs préjugés envers les homosexuels.

Il y en a marre de la complaisance en faveur de ce film médiocre, qui blesse le comique et qui insulte aux homosexuels.

- Bref, un avis dissonant.

- Libre à vous de vous complaire dans le miroir déformant que vous tend ce film, et de rire en même temps que les homophobes, et en chœur avec eux.

Je ne suis absolument pas d'accord, et je dirais même qu'après l'avoir revu hier et à l'aune de l'actualité récente, ce film est porteur d'un message.
S'il reste avant tout un film comique, il y a des nombreuses situations auxquelles hélas près de 30a plus tard nous sommes encore confrontés, la 1ère d'entre elle étant bien sur l'acceptation par la société. A ce titre l'histoire avec le fils de l'un des protagonistes est d'une résonne aujourd'hui d'une manière surprenante, quant au personnage interprété par Michel Galabru, on a l'impression qu'il est directement inspiré de Christine Boutin

Ce film véhicule une image très réductrice de l'homosexuel homme, forcément efféminé, maniéré, maquillé et "marchant sur un fil", cette image s'est ргоfопԁémепt ancrée dans l'imaginaire collectif, au point d' effacer toute marque de virilité chez l'"homo". Si les "folles" ne sont pas un mythe, elles ne représentent pourtant qu'une infime partie des homosexuels, qui pour la majorité d'entre eux cultivent au contraire leur côté homme. L'homo y est présenté sous une forme exagérément ridicule destiné avant tout à faire se plier en deux la population hétéro.

Les clichés sont partout dans ce film, entre la statue du grec qu'il faut virer (chacun sait que tous les grecs sont gays, à se demander comment cette population se reproduit)
Jusqu'à l'employé de maison, ou plutôt "le serviteur", black, qui s'adresse à ses employeurs avec des "maitwe, maitwesse, petit maitwe blanc", avec forcément l' accent "petit-nègre" qui va bien..., et qui ne supporte pas les chaussures, en bon sauvage, il se doit de marcher pieds пus...


Bref un film pathétique et désolant de clichés homophobes et racistes complètement lourdingues.