Tes exemples sont extrémistes. La jalousie peut-être (mal)saine. Bon, deux cas bien différents, il faut donc mesurer sa dimension. Un peu de jalousie ça rassure. Trop c'est donc destructeur. Et pour moi, lorsqu'il n'y en a pas, on peut avoir à faire à deux éléments (attention : propos extrémistes !) : soit (comme dans la citation) on n'y pense simplement pas parce qu'il n'y a pas lieu d'en avoir, je pense que c'est le cas au début, et quand le couple a une certaine routine. Soit lorsqu'il n'y a pas d'amour. Dans les deux cas, il n'y a pas ce besoin de jalousie.
Enfin, je me trompe certainement. Mais quoiqu'il en soit, la jalousie arrive seule (quand elle arrive un jour...), et ce qu'il reste à faire avec elle, c'est de la contrôler, ce qui n'est pas toujours simple !
Pour ma part, je sais que lorsque j'ai des sentiments je suis jalouse, amicalement ou amoureusement d'ailleurs. Mais j'essaie de vivre avec et de la contrôler.
alors je dirais que:
- la jalousie peut être là même sans amour.
- la jalousie est un manque de confiance donc que ce soit au début, au mileu ou à la fin tant que la personne ne grandit pas elle restera toujours à ce stade d'egoisme avancé.
- la jalousie remet en cause les fondements d'une base saine (pas la peine de trop me repeter)
- la jalousie est la marque representative des personnes pas finies voire pas encore commencées
...
par consequent la jalousie n'a absolument rien de rassurant.
c'est incroyable qu'il faille à chaque fois justifier la jalousie par des sentiments... que je sache la jalousie est un sentiment suffisant bien distinct de l'amour, la colère, la joie,...
je ne suis pas jalouse pourtant j'ai aimé. je tolère les gens jaloux tant que ca reste maitrisable et surtout bénin (oui nous sommes dans un monde imparfait)
pour moi la jalousie est liée à la convoitise lorsqu'elle n'est pas liée à l'incertitude de ses sentiments.