Ho!la la que d'histoire pour du cinéma
ne nous fâchons pas pour de telles futilités
Bon pour ce qui est du film le dictateur, quand il a été tourné,il montrait l'ambition d'un sinistre fou
on ne se doutait pas encore des horreurs qui allaient suivre
Ben, à vrai dire, à la date de la réalisation du film de Charlie Chaplin, des centaines de milliers d'Allemands avaient goûté des camps de concentration, les partis politiques (parti communiste, parti social-démocrate, et d'autres) et les syndicats étaient dissous et interdits, la population était enrégimentée dans des organisations de mаssе obligatoires, les Juifs allemands avaient été exclus de toute la vie sociale de la nation allemande, des pays entiers avaient été annexés, et l'idéologie du régime exigeait le sacrifice de chacun à l’État garant de la "race" ; mais des génocides (des Juifs, des tsiganes, et de ceux qui étaient programmés, celui des Slаvеs, déjà mis à exécution lors de l'invasion de l'URSS), et des dizaines de millions de morts à cause de l'expansionnisme de l'impérialisme allemand tard venu et donc d'autant plus féroce, oui, de leur ampleur, de leur sauvagerie, seules les horreurs perpétrées à l'encontre des "indigènes" des divers empires coloniaux ont pu et pouvaient donner une première mesure. Là les armées ont emmagasiné de l'expérience et se sont fait la main.
La démesure d'un Hitler est un ingrédient supplémentaire ; je ne crois pas à sa "folie".
--- Ceci dit, je persiste à porter un jugement sur la manière de porter à l'écran des personnages : oui ou non, des préjugés en sont-ils confortés ?
Là est tout le débat, auquel certains sont décidés à ne pas participer, tout en m'invectivant pour l'un !!!
Cependant, "La cage aux folles" est un tissu de clichés qui correspondent aux préjugés des homophobes.