Juste pour informer, les études psychologiques faites sur une population donnée dans certaines conditions par rapport à X variables sont empiriques et ne peuvent en terme de test réellement être appliquer à une unique personne donnée.
Les névroses concernant la psychopathologie seraient plutôt dans le cadre de la psychologie clinique qui a tendance a traiter l'individu comme un patient (inspiration claire de la psychanalyse) Donc encore moins de chance qu'on retrouve un "test" destiné à "évalué" quelque chose chez un individu (sujet).
Après il est vrai que les DRH en recrutement se sont inspirés, de diverses test empirique pour créer leur propre outils de "triage" tout comme en communication et marketing.
Mais ces test ne relèvent au finale d'aucune réalité psychologique pour nous en terme de personnes.

Je suis heureux d'apprendre, de la part de quelqu'un qui semble s'y connaître, que ce que cernent ces tests abracadabrantesques ne peut définir une quelconque réalité individuelle ; et que ces tests guignolesques
ne sont qu'abusivement dérivés des travaux et des enseignements qui ont lieu dans les facultés où l'on enseigne la psychologie clinique.
Quant au fait que la psychanalyse n'a rien de commun avec ces vérifications de normalité, je m'en doute, je m'en félicite : au moins une méthode de traitement qui ne se prête pas à des exploitations douteuses par des produits dérivés.