"Mec si beau mec si beau"...

Il est aussi beau que le dernier sondage 19 %
brrrrkkkkkk

Salut jooking,

Tu rejoins les millions d'électeurs tellement déçus qui ont voté pour cet homme, dont bon nombre rendent leur carte et souhaitent sa démission !

19 % sont hélas un "score" très bas jamais atteint au cours de la 5è République, qui risque de baisser encore...
En plus, quelle équipe d'incompétents autour de lui !

Mouais, en matière de caricature politique, cela ne vaut pas la délicieuse caricature, à la mode de Saint-Simon (le chroniqueur vache du règne de Louis XIV), que firent les journalistes du "Canard enchaîné", André Ribaud et Moisan, des bassesses et des flagorneries à la Cour du nouveau Roi Soleil, dans la république des copains et des соԛuіпs, la république du Service d'Action Civique (que la République dut dissoudre après des assassinats majeurs et après une enquête parlementaire), la république des milices patronales et du syndicat maison (la Confédération Française du Travail, organisme d'extrême-droite, qui sévit comme syndicat prétendu, à Renault et dans diverses entreprises, pourchassant les militants de la CGT et de la CGT-FO), qu'était la présidence du général De Gaulle.

Vous pouvez facilement trouver ces ouvrages chez les libraires d'occasions, à des prix très démocratiques !

Je vous propose de retrouver le sel de quelques dessins, qui nous montrent à quelle hauteur le fondateur de la Cinquième République aura porté la courtisanerie autour de lui (et que l'on se rappelle ces conférences de presse où la monarque de la Ve étalait complaisamment ce qu'il croyait être la belle langue française, pour ébaubir les journalistes et la Cour de Sa Majesté).












De Gaulle, c'était par la boursouflure du style, de ses écrits et des se apparitions, un pastiche vivant de Ubu Roi, de Jarry.


Rappelons, de Jean-François Revel, la magistrale analyse qu'il fit du style boursouflé du général. Ce livre est disponible neuf, et rarement une analyse du style aura cerné les dessеіпs politiques, l'idéologie, les mécanismes du pouvoir, que recouvrait l'appellation "général De Gaulle".




La flagornerie : mille journalistes réunis pour se faire tгапsfuser la divine parole présidentielle.
La figure de discours trivialement sportive ou immobilière : "la France dans la peloton de tête" ; "la remise à jour, en chantier".

L'art de l'embrouillamini qui n'aboutit à rien de déclaré.
Un vide sidéral.




Si : la sortie du commandement intégré de l'OTAN, mais pas de l'organisation elle-même.

Sel : entendre De Gaulle recommander des "négociations à ouvrir", après avoir continué la politique du massacre en Algérie, jusqu'en 1962.

Voilà de la bonne caricature relayée par soi-même, par Sa Suffisance, par Sa Majesté portée au pouvoir par le putsch des généraux d'Algérie.

Enjoy, comme l'écrit Jiminy.

Bonsoir Climax,

Je m'amuse à transmettre et partager ce que je reçois, et reste donc dans l'actualité qui est ce qu'elle est..., très médiocre en ce moment je te l'accorde, ce qui m'a permis de rester dans la musique ou plutôt dans la variété "franchouillarde", mélodie de Francis Lореz !

Ce n'est en rien comparable (quelle injure d'oser seulement le penser) avec "la Cour" du Canard dont je me délectais adolescent.
Je me régalais également des interviews de De Gaulle par Michel Droit ou des conférences de presse du Grand Homme, Sauveur de la France, car il aura été le seul à tout avoir dans la tête, sans prompteur ni fiches sous les yeux, au parler réjouissant, jamais ennuyeux, qu'on écoutait attentivement et avec grand рlаіsіг jusqu'au bout tant il était captivant .

Nous n'avons plus eu ensuite AUCUN président avec cette verve élégante, sans fiche et tout dans la tête.

De Gaulle...De Gaulle...Mouais, enfin qu'a t-il fait ? Si je devais choisir un chef, un véritable chef avec des "corones", il ne figurerait pas dans la Ve République ni même dans la IIIe !
Je fais référence à notre Empereur Bonaparte qui a su faire rayonner la France par ses victoires inoubliables et a failli prendre sa revanche sur l'ennemi anglais qui avait vaincu quelques siècles plus tôt notre chevalerie à Azincourt avec la perfidie qui le caractérise !

Après la chute de l'empire, la France n'était plus qu'une vile république bananière dotée de présidents à son image.

VIVE L'EMPEREUR !

Salut ikki,

Si Napoléon fut un grand personnage, inégalable,
De Gaulle en fut un autre, tout aussi inégalable.

C'est INCONTESTABLE.

Mouais enfin Général planqué à Londres pendant les évènements, chez l'ennemi anglais ! Je peux moi aussi, en étant hors d'atteinte de l'occupant, appeler à la résistance.