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Politique ! Zappez si vous n'aimez pas ! (page 3) - Politique & Droits des homosexuels

Sujet de discussion : Politique ! Zappez si vous n'aimez pas !
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 12 juillet 2015 à 20:34
    Je ne sais pas d'où sortent ces 1000 milliards, toujours est-il, qu'un troisième sauvetage est estimé à environ 85 milliards de plus. Considérer qu'il faut endetter davantage son débiteur afin de ne pas faire une croix définitive sur son argent me semble plutôt hasardeux.

    Tsipras pensait pouvoir utiliser le referendum afin de négocier un accord plus avantageux, il a aujourd'hui le couteau sous la gorge.

    Le ministre grec de l'Economie George Stathakis prévient que les parlementaires de l'aile gauche de Syriza, même s'ils sont ministres, devraient démissionner s'ils ne sont pas d'accord avec la ligne du gouvernement concernant les propositions de réformes qui ont été présentées aux créanciers internationaux.

    Finalement les financiers auront la peau de ce gouvernement d'extrême gauche.
  • 50_nuances_de_bi Membre suprême
    50_nuances_de_bi
    • 12 juillet 2015 à 21:00
    Pas de panique : Tsipras a fait appel à Cetelem

    Rhetorik_web.jpg
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 13 juillet 2015 à 01:06
    - Je m'en voudrais de briser ce bel élan unanimiste anti-grec.

    - Le sujet est d'une limpide clarté : nous sommes appelés à un exercice de détestation.

    - Il y a, dans les propos de Corypheus, la jоuіssапсе de celui qui s'identifie aux institutions du capital financier : la Banque Centrale Européenne (que ses statuts définissent comme indépendante de tout pouvoir politique), l'Union européenne (une construction qui n'aura abouti qu'à la promotion de cette monnaie faite pour la circulation des capitaux, l'Euro), le Fonds Monétaire International.

    - Je tire des épisodes grecs une autre leçon : tout gouvernement qui ne rompra pas avec l'Union européenne, serait-il plébiscité par son peuple (et soixante-et-un pour cent de non à un référendum, ce n'est pas rien), sera amené à trahir son programme, d'où la démission de Yannis Varoufakis, remplacé par un autre qui menace "l'aile gauche de Syriza", mais, en vérité, ceux qu'il menace, ce sont les travailleurs grecs et toute la population laborieuse de Grèce.

    - Puisque Textoo cite "le Point", très orienté à droite, nous allons renvoyer au communiqué des secrétaires nationaux du Parti Ouvrier Indépendant, en date du 6 Juillet 2015.

    Cela fera entendre un autre point de vue ici :

    http://parti-ouvrier-independant.fr/2015/07/06/communique-des-trois-secretaires-nationaux-du-poi-du-6-juillet/

    - Je salue en Corypheus une clarté des vues, qui lui fait écrire, plus haut "Les financiers auront la peau de ce gouvernement d'extrême-gauche" ; oui c'est bien le capital financier qui entend mettre en servitude, malgré tous les votes contraires, et le gouvernement grec, et le peuple grec : de ce point de vue, il n'y a pas de conciliation possible ; il n'y aura que des défaites en rase campagne ou le gouvernement grec rompra avec l'Union européenne ; une situation politique est rarement aussi claire.
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 13 juillet 2015 à 01:07
    C'est terrible une femme en politique :)

    angela-merkel_200x200.jpg

    47844848.jpg

    Dans un autre registre ...

    nut.jpg
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 13 juillet 2015 à 01:09
    ce sont les travailleurs grecs et toute la population laborieuse de Grèce.

    Tiens donc, depuis quand bosse-t-on en Grèce ? haha !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 13 juillet 2015 à 01:31
    En réponse au message de corypheus :

    ce sont les travailleurs grecs et toute la population laborieuse de Grèce.

    Tiens donc, depuis quand bosse-t-on en Grèce ? haha !

    Voilà, Corypheus, pourquoi je ne discute plus avec toi. Tu n'as que le SARCASME à la Ьоuсhе.

    Tu ne respectes, ainsi, pas le minimum requis pour une discussion, si tant est qu'elle puise avoir lieu.

    Tu émets des moqueries pour agacer, énerver, faire voir rouge à quelqu'un qui pourrait être ton contradicteur.

    Seulement, être le contradicteur de Corypheus n'est pas possible : non que ta puissance argumentative soit forte, par contre la haine étant ton fil conducteur, tu ne possèdes pas cette intelligence qui te ferait examiner ce qu'avance un autre.

    Pourtant cette intelligence est celle de la compréhension des forces en présence.


    Les forces en présence, et tu l'as très bien formulé à ta manière dans ta conclusion, après les menaces du nouveau ministre remplaçant Yannis Varoufakis, contre "l'aile gauche de Syriza" (et je le répète, en fait, c'est le peuple grec dans sa majorité que ce ministre menace), "Finalement les financiers auront la peau de ce gouvernement d'extrême-gauche".

    Oui, ce n'est pas Climax69007 ou Corypheus,

    ou x ou bien y, qui sont en présence,

    finalement chacun est appelé à prendre parti

    pour ou contre un accord avec le capital financier.



    Je prends parti contre cet accord,
    comme soixante-et-un pour cent
    des Grecs qui ont voté "NON",
    parce qu'ils et elles ont soupesé clairement
    ce qu'un accord avec les institutions UE-BCE-FMI
    (voir plus haut ces sigles développés)
    allait leur coûter en misères supplémentaires.




    C'est une prise de parti :

    et les batailles de mots,

    les logomachies,

    ne résoudront rien.




    De plus, ne souhaitant
    en aucune manière
    m'empailler avec toi, Corypheus,
    je te salue.

    Cet autre point de vue,
    cette prise de parti étant dûment consignés,
    tels des Ьuttes-témoins, dans la déferlante anti-grecque.
  • draconis Légende urbaine
    draconis
    • 13 juillet 2015 à 01:38
    Oui Climax les financiers auront la peau de ce gouvernement, en votant pour Syriza, les grecs ont fait un choix, celui de la défiance, or on ne défie pas impunément la BCE, l'UE et le FMI lorsque les coffres des banques sont vides.

    Maintenant, ils devront assumer. C'est dommage.

    Mais effectivement, Climax, c'est l'argent qui ԁоmіпе, pas ton humanisme rétrograde, inspiré de tes lectures marxistes-léninistes. On se fout des peuples, oui ce n'est pas juste, mais personne n'a dit que le monde l'était.

    Cela dépasse les limites de l'Union.

    Tu t'adaptes ou tu crèves.
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 13 juillet 2015 à 02:05
    Mon point de vue n'est pas humaniste, mais bien politique, comme le tien, Corypheus, est un point de vue politique soutenant les institutions du capital financier international, qui trouve deux de leurs traductions et de leurs instruments dans l'Euro et dans la Banque Centrale Européenne.




    Mon point de vue, pour persistant qu'il soit,

    n'est pas "rétrograde" : en effet, je ne vois pas

    en quoi le capital financier, et ses infinies barbaries

    (liquidation des systèmes de santé,
    liquidation des services publics,
    "création" d'une mаssе d'indigents,
    liquidation des retraites et pensions,
    refus de la démocratie politique
    la Grèce en étant l'exemple
    le plus flagrant cette semaine écoulée
    depuis le référendum,
    multiplication des guerres régionales,
    destruction des nations et de leurs structures
    pour exploiter les richesse de leur sol
    ainsi que les forces de production humaines.)

    pourraient prétendre représenter le progrès.


    Tu sais, Corypheus, ce n'est pas

    en proclamant d'un autre qu'il serait "rétrograde",

    que tu te trouverais - par un effet magique des mots -

    propulsé à la tête du camp du progrès :

    ce que tu défends, c'est le système de production

    capitaliste, qui se développe depuis - mettons -

    cinq siècles (soit la période dite des

    "Grandes Découvertes" qui est la première

    globalisation capitaliste).


    Et, dès cet époque-là,
    les forces contraires au capitalisme
    ont germé et fermentent en son sеіп,
    et ces forces sont aussi anciennes
    que le mode de production capitaliste
    qui n'est pas la fin de l'histoire humaine.


    Salut !
  • sergeclimax69007 Membre suprême
    sergeclimax69007
    • 13 juillet 2015 à 02:38
    Le dernier mot de la morale de Corypheus est celle du "darwinisme social".

    "Tu t'adaptes ou tu crèves" écrit-il.

    Ce darwinisme social étend, indûment, de manière frauduleuse, contre Charles Darwin, en le falsifiant, les conclusions tirées de ses observations de la nature.

    C'est ce darwinisme social qui combat la lutte des classes sociales, distingue à peine dans les sociétés humaines un élan vital nietzschéen (de bas étage), une réunion des êtres en meutes, et qui prône l'écrasement "naturel" des "faibles" par les "forts" ; c'est ce darwinisme social qui se traduit en suprématisme blanc aux États-Unis d'Amérique (d'où les assassinats de Noirs à Charleston, dernièrement)

    Position éminemment politique : Corypheus est partisan des banquiers contre le peuple grec ; et il m'accusera, bien évidemment, de "totalitarisme marxiste-léniniste", alors que l'Union européenne s'emploie pratiquement et de manière totalitaire à subjuguer tous les peuples par le principe de la dette publique.

    Rien de plus antidémocratique et ennemie de la démocratie politique que l'Union européenne : l'exemple est sous nos yeux, avec la Grèce.

    Être du côté du manche, du capital financier, est un rôle que je laisse à Corypheus.
  • papyԁосіlе Membre élite
    papyԁосіlе
    • 13 juillet 2015 à 07:44
    En réponse au message de greenary2 :

    Oui textoo, et c'était un des seuls pays où on pouvait rester chômeur à vie!..

    TON europe est elle encore démocratique ??? Je ne le crois pas elle se révèle telle qu'elle est:UNE DICTATURE ECONOMIQUE donc finalement politique vu que le politique est sommé d'аvаliser cette dictature ou de disparaitre.

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