Récit d'un bizutage (page 2) - Le "Blabla" bar

Bonsoir, je suis aussi tombée sur cet article après en avoir consulté un sur le décès d'un étudiant en première année aux mines de Paris la veille d'un départ en week end d'intégration qu'il apréhendait, on ne sait pas s'il sagit d'un suicide ou d'un accident... La plupart du temps ces "journées d'intégration" se passent bien et sont mémorables pour la plupart des participants, ce que je regrette (et pour connaître des personnes qui les ont très mal vécu ) c'est l'absence totale de surveillance (pourquoi pas des capitaines de soirées, des sam, chargés d'empêcher certains dérapages?) et une direction qui ferme les yeux et cache certains faits par peur de ternir l'image de l'école.

Par la loi n° 98-468 du 17 juin 1998 relative à la prévention et à la répression des infractions sехuеllеs ainsi qu’à la protection des mineurs, créée par Ségolène Royal, Ministre déléguée à l'Enseignement scolaire du Gouvernement Jospin, le bizutage devient un délit.

Tout à fait, alors que la loi condamne ce genre d'exaction, nous ne pouvons que constater que les Universités continuent de mettre en pratique ces sévices, la loi condamne, la Justice ne suit pas. Les étudiants victimes doivent déposer plainte, et réclamer la tête des responsables.

A mes yeux cela restent des exceptions. La majorité des "journées d'intégration" se font dans une bonne ambiance et un délire collectif. Loin des bizutages à l'extrême.

Il ne faut pas généraliser non plus.

Bonsoir Toubabe,

Sans en faire une généralité mais ne pas ignorer non plus, le but de l'école n'est pas de cautionner ces anneries

c'est l'absence totale de surveillance (pourquoi pas des capitaines de soirées, des sam, chargés d'empêcher certains dérapages?) et une direction qui ferme les yeux et cache certains faits par peur de ternir l'image de l'école.

Bonsoir Petit-a

On se demande un peu, quelle est le but réel de tels "sévices"

Par la loi n° 98-468 du 17 juin 1998 relative à la prévention et à la répression des infractions sехuеllеs ainsi qu’à la protection des mineurs, créée par Ségolène Royal, Ministre déléguée à l'Enseignement scolaire du Gouvernement Jospin, le bizutage devient un délit.

Tu as raison, mais qui va se plaindre a part l'exemple ci dessus ? Il faudrait plus de "rébellion" et le faire savoir

A mes yeux cela restent des exceptions. La majorité des "journées d'intégration" se font dans une bonne ambiance et un délire collectif. Loin des bizutages à l'extrême.

Il ne faut pas généraliser non plus.

Bonsoir Toubabe,

Sans en faire une généralité mais ne pas ignorer non plus, le but de l'école n'est pas de cautionner ces anneries

Entièrement d'accord ! Alors pourquoi vouloir tout interdire ? Dans certaines universités, ces "journées" n'ont rien d'âneries !

Cela équivaut à vouloir interdire la voiture car il y a eu quelques incidents ! Faut pas généraliser, c'est absurde.

C'est hélas toujours des minorités qui pénalisent les majorités, et temps que l'on ne saura pas traiter le détail cela perdurera ainsi.

Et ce n'est pas avec vos propositions qu'on arrivera un jour à le faire.
Drôle de raisonnement, vraiment.

Je rejoins tout à fait le raisonnement de Toubabe. Comme tous les étudiants et les anciens de ce site, j'ai été "bizuté" à mon entrée à mon école, puis lors de l'adhésion à ma fraternité. Ce sont des rites tout à fait amusant et qui ont l'avantage d'intégrer le nouveau dans le groupe.Les dérapages sont extrêmement rares et j'estime que c'est vraiment exagéré d'en faire un drame. faut il vraiment tout interdire et réglementer dans la vie parce qu'un infime poignée d'irresponsables ont dérapé ?