Passons sur la première fois qui était davantage une façon de sortir dune vігgіпіté pesante que commandée par un désir réciproque. J'ai été utilisé comme carpette par un mec qui avait autant le sens des relations humaines que moi, engoncé, perclus de préjugés, reclus en moi-même.
Je me suis rattrapé avec un beau et charmant Libanais, qui m'aura invité dans sa baignoire et dans son lit ; et de cela, je garde de beaux souvenirs, même si la fin de cette relation fut triste.
Conclusion : la première fois peut n'être pas une illumination.
Et, la première fois avec une femme a été une vraie jоuіssапсе ; nous avons souvent remis le couvert ensemble. Là aussi, fin malheureuse : elle s'est suicidée (ce qui n'avait rien à voir avec notre relation).
Bref : si l'on s'en rapportait aux premières fois pour déterminer le cours d'une vie, je devrais être marié, et avoir une ribambelle d'enfants ; je demeure davantage enclin vers les hommes, pourtant.
Je m'aperçois que je suis le seul à entamer une sorte de confession publique... Je vous épargnerai les détails. Ah mais, petits соԛuіпs !!!



Bonsoir Climax, même si c'est un peu triste (...) j'ai quand même aimer écouter tes petites histoires de premières fois ! Donc merci à toi, pour ton témoignage !
Deum, oui, il y a de la tristesse dans ces rapports sехuеls, le premier dans l'insensibilité, les seconds dans le regret de ne pas être tout à fait de l'âge de mon Libanais - je n'étais pas assez âgé pour lui - alors qu'il était et sensible et intelligent et beau garçon et musicien (compositeur d'ailleurs), les troisièmes dans l'ombre d'une disparition assez tragique, mais que veux-tu...
Si ces récits, alors que chacun semble se défiler pour ne rien raconter, on pu t'intéresser, et te toucher, cela me plaît, et c'est un motif suffisant pour le avoir livrés ici, sans déballage outrancier.
Il y a un mythe de la première fois ; ce mythe est dangereux (si on la rate, tout le reste serait à l'avenant) ; et il s'impose un devoir de réussite, de performance qui font de ces premières fois des entreprises pénibles.
Et, j'avais oublié, ma première fois, vraiment la première, après un Ьаіsег fougueux à tomber de vertige, c'était avec une charmante jeune fille qui me trouvait très masculin (très "yang" disait-elle, en examinant mes yeux), jeune fille que j'ai ardemment (ça fait cliché, mais c'est ainsi) сагеssée, sans rien consommer du tout : comme quoi j'étais fort peu averti des réalités sentimentales et sехuеllеs ; enfin, il faut que j'aie rétrospectivement de l'indulgence pour moi-même. -))


Un charmant souvenir.
Allez, bises, Deum !
Voilà ce que c'est que de
réveiller des souvenirs,
on assiste ensuite à
des débordements ici...
Et dire qu'on m'a traité
dernièrement de misogyne
parce que je ne sacrifie pas
à La Toya Jackson,
autant entendre ça que
d'être sourd, tiens !!!)