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Quand la vie devient plus puante que la mort… (page 11) - Religions & croyances diverses

Sujet de discussion : Quand la vie devient plus puante que la mort…
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 13 juillet 2019 à 14:08
    En réponse au message de 50_nuances_de_bi :

    Veuillez regler vos comptes en mp svp
    le sujet est assez grave sans avoir des polémiques en +

    Là où tu vois des comptes à régler, je vois quelqu'un qui se fait opposer un argument rationnel et qui ne le supporte pas…

    C'est pourtant pas compliqué de comprendre que la famille n'est pas la mieux placée pour décider d'une suite médicale d'un proche…

    C'est un argument qui a le droit de citer sans flood derrière, m'est avis…
  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 13 juillet 2019 à 14:15
    En réponse au message de parfum-de-femme :

    En réponse au message de 50_nuances_de_bi :

    Veuillez regler vos comptes en mp svp
    le sujet est assez grave sans avoir des polémiques en +

    Là où tu vois des comptes à régler, je vois quelqu'un qui se fait opposer un argument rationnel et qui ne le supporte pas…

    C'est pourtant pas compliqué de comprendre que la famille n'est pas la mieux placée pour décider d'une suite médicale d'un proche…

    C'est un argument qui a le droit de citer sans flood derrière, m'est avis…

    Non, il n'est pas question de moi, c'est vous qui ne comprenez pas ou bien vous le faites exprès... Un médecin n'a pas à juger de la vie ou de la mort d'un patient.

    Si tu avais ton fils dan cet état et tu gardes espoir, aimerais tu qu'un médecin prenne cette décision contre ta volonté ?

    (même les plus grands médecins peuvent se tromper !!!)
  • lessismore Membre suprême
    lessismore
    • 13 juillet 2019 à 14:23
    La volonté de vie ou de mort n’est pas plus détenue par un parent. Et même si effectivement la médecine actuelle est loin d’avoir tt découvert, et peut se tromper, elle est quand même plus rationnelle et scientifique qu’une mère qui croit voir son fils vie alors qu’il est maintenu en vie artificiellement.
    Sans la médecine il serait déjà mort.
  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 13 juillet 2019 à 14:24
    En réponse au message de lessismore :

    La volonté de vie ou de mort n’est pas plus détenue par un parent. Et même si effectivement la médecine actuelle est loin d’avoir tt découvert, et peut se tromper, elle est quand même plus rationnelle et scientifique qu’une mère qui croit voir son fils vie alors qu’il est maintenu en vie artificiellement.
    Sans la médecine il serait déjà mort.

    Comme tant d'autres patients... Doit-on les tuer pour autant ?

    Un médecin n'a pas pour rôle de décider qui doit vivre ou mourir
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 13 juillet 2019 à 14:27
    En réponse au message de sim.s-heart :



    Non, il n'est pas question de moi, c'est vous qui ne comprenez pas ou bien vous le faites exprès...

    Comme d'habitude, encore un procès d'intention…

    En réponse au message de sim.s-heart :


    Un médecin n'a pas à juger de la vie ou de la mort d'un patient.

    Ils le font tous les jours en s'abstenant de soigner, en continuant ou en arrêtant des soins.

    En réponse au message de sim.s-heart :


    Si tu avais ton fils dan cet état et tu gardes espoir, aimerais tu qu'un médecin prenne cette décision contre ta volonté ?

    (même les plus grands médecins peuvent se tromper !!!)

    Il ne s'agit pas d'espoir mais de percevoir les réalités au plus juste possible.
    Les médecins ont leur mot à dire, la famille aussi.
    Les infirmières même sont souvent consultées et font pencher la balance dans un sens ou dans l'autre.

    Si un de mes fils était dans la situation que j'ai rencontré avec quelques unes des personnes dont je me suis occupé en tant que bénévole, il m’apparaît totalement évident que ma demande serait d'arrêter les frais.
    Si les médecins s'y refusaient, il m’apparaît tout aussi évident que j'apporterai à mon fils la solution refusée.

    On a déjà eu ce genre de discussion avec ma femme et, à l'occasion de celles-ci, je me suis engagé à veiller à ce que le monde médical ne s'acharne ni sur mes enfants, ni sur elle.
  • lessismore Membre suprême
    lessismore
    • 13 juillet 2019 à 14:27
    On est plus proche du légume que du patient malheureusement dans ce cas précis. C’est dramatique je le conçois.
  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 13 juillet 2019 à 14:30
    En réponse au message de parfum-de-femme :

    En réponse au message de sim.s-heart :



    Non, il n'est pas question de moi, c'est vous qui ne comprenez pas ou bien vous le faites exprès...

    Comme d'habitude, encore un procès d'intention…

    En réponse au message de sim.s-heart :


    Un médecin n'a pas à juger de la vie ou de la mort d'un patient.

    Ils le font tous les jours en s'abstenant de soigner, en continuant ou en arrêtant des soins.

    En réponse au message de sim.s-heart :


    Si tu avais ton fils dan cet état et tu gardes espoir, aimerais tu qu'un médecin prenne cette décision contre ta volonté ?

    (même les plus grands médecins peuvent se tromper !!!)

    Il ne s'agit pas d'espoir mais de percevoir les réalités au plus juste possible.
    Les médecins ont leur mot à dire, la famille aussi.
    Les infirmières même sont souvent consultées et font pencher la balance dans un sens ou dans l'autre.

    Si un de mes fils était dans la situation que j'ai rencontré avec quelques unes des personnes dont je me suis occupé en tant que bénévole, il m’apparaît totalement évident que ma demande serait d'arrêter les frais.
    Si les médecins s'y refusaient, il m’apparaît tout aussi évident que j'apporterai à mon fils la solution refusée.

    On a déjà eu ce genre de discussion avec ma femme et, à l'occasion de celles-ci, je me suis engagé à veiller à ce que le monde médical ne s'acharne ni sur mes enfants, ni sur elle.

    Tu as éludé ma question, ça prouve qu'elle te gène par rapport à tout c'que tu as dit auparavant.
  • sim.s-heart Légende urbaine
    sim.s-heart
    • 13 juillet 2019 à 14:32
    En réponse au message de lessismore :

    On est plus proche du légume que du patient malheureusement dans ce cas précis. C’est dramatique je le conçois.

    Il réagissait aux stimulis, il n'était don pas un légume... Mais tu as un train de retard, le malheureux est décédé avant hier
  • parfum-de-femme Membre élite
    parfum-de-femme
    • 13 juillet 2019 à 14:35
    Je n'ai rien éludé…

    Tu as dit: "Un médecin n'a pas pour rôle de décider qui doit vivre ou mourir."

    Je t'ai répondu:

    En réponse au message de parfum-de-femme :


    Ils le font tous les jours en s'abstenant de soigner, en continuant ou en arrêtant des soins.

    Cela me semble clair: Tu décrètes quelque chose que la réalité quotidienne du médecin inscrit en faux.
  • lessismore Membre suprême
    lessismore
    • 13 juillet 2019 à 14:35
    Le maintien en vie artificiel maintient également quelques fonctions du corps. Si tu le frappe, il aura un bleu, si tu lui mets le ԁоіgt dans l’oeil il va un peu couler de l’oeil.
    On ne peut pas parler de vie, plutôt de réflexes du corps aux stimuli extérieurs.
    Et on peut même pas parler de réflexes naturels parce que je te le rappelle, il est maintenu en vie artificiellement.

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