La même chose que pour les mots anglo-saxons utilisés dans la langue française. L'anglais est une langue vivante, qui voit naître aussi bien des néologismes que l'adoption de mots étrangers. Et c'est très bien. Qui sait un jour parviendront nous à une véritable langue universelle, fruit d'un amalgame d'innombrables autres langues ou dialectes.
Encore une réponse... à coté et parler de "franchouillard" confirme, une fois de plus, tout le snobisme qu'il y a dans cette démarche.
L'apprentissage d'une langue n'a rien a voir avec l'utilisation abusive d'anglicismes en tout genre, le plus souvent d'ailleurs mal employés par rapport a la langue originale. Les québécois ne savent-ils pas parler anglais ?
Prendre le modèle québécois est véritablement malhonnête, tant il s'agit pour eux d'un acte de rébellion contre les anglophones, ce n'est absolument pas comparable. Pour revenir à l'apprentissage c'est lié, il y a 60 ans, les anglicismes étaient fort rares... CQFD.